Le Net ce n'est pas si bien - Histoires de Sexe

Le Net ce n'est pas si bien

... insatiable, je vais acheter les plus gros godes, les plus énormes rosebud et tu vas te balader avec, cul et con occupés.

Ce langage ne la rebute pas. Elle tire sur mon shorty. Le sexe qu’elle découvre est déjà en érection. Je suis comme cela, je bande vite. Ses lèvres s’ouvrent et… et… je disparais…

Jamais je ne ressortirai de cet écrin. Enfin je veux dire, je ne ressortirai qu’après avoir inondé sa gorge de mon sperme, ce jus que j’ai accumulé depuis des semaines en prévision de cet instant, même si je ne le savais pas vraiment. Et pendant qu’elle me pompe, suceuse salope, reine de la pipe gourmande, je rêve tout haut.

— Tu aimes les piercings, attends, je vais t’en faire mettre sur les tétons, sur les petites lèvres, sur ton bouton. Tu veux, hein ?

Elle acquiesce, la bouche remplie de ma queue, lui imprimant le plus délicieux des mouvements.

— Tu aimes te déguiser, attends, je vais te déguiser en pute et je vais t’emmener au bois pour pomper des inconnus et te faire mettre. Tu veux, hein ?

Même mouvement.

— Oh, oui, je sais. Je vais. Je vais… Je vais… Oui, t’attacher, te fouetter, déformer tes seins, les faire gonfler, pomper tes tétons dans des tubes, et puis… et puis…

Elle abandonne ma queue pour me dire :

— Tout ce que tu veux mon ...

... amour. Je serai ta pute, la chienne que tu vas donner, la salope qui va se faire baiser par tous ceux que tu veux, la cochonne à la maison…

Mais elle et moi avons d’autres soucis pour l’instant. Je crache mon jus et cela me semble être vraiment la première fois que je jouis dans sa gorge. Elle me garde au chaud, la langue me lisse le bout, les joues aspirent le sperme, la gorge déglutit mais aussi et surtout ce regard de chienne et de salope que j’apprécie, surtout que je sais que derrière tout cela, il y a le regard de ma femme, de celle que j’aime, de celle que j’ai retrouvée et qui m’aime aussi. Car elle m’aime pour avoir accepté ce chemin.

Non ?

Et après. Après, mais c’est tout simple. Lise, nue, attachée, masquée, livrée aux assauts d’un, de deux, de trois ou plus si affinités, mâles qui la font hurler de plaisir. Mais quelqu’un filme, quelqu’un organise, quelqu’un enregistre pour après. Ce quelqu’un c’est moi et tout se passera chez nous ou mieux, dans un hôtel afin de garder le contrôle et l’anonymat.

Le contrôle, voilà ce que chaque mari qui veut donner sa femme à un autre, doit avoir en tête. Sinon… sinon, la situation peut nous échapper et on se retrouve la queue entre les mains sans personne pour la faire bander, pire, pour vous branler…

FIN