Une pipe à Saint-Claude
Datte: 18/11/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
hotel,
massage,
Oral
nopéné,
occasion,
Auteur: Humoureux, Source: Revebebe
... de plus en plus profondément dans cette bouche torride.
Marie-Hélène m’avoua plus tard qu’elle sortait d’une longue abstinence et que ces moments étaient extraordinaires pour elle. Il en fut tout autant pour moi, surtout qu’elle me pompait de plus en plus violemment.
Comme je souhaitais faire durer ces moments sublimes le plus longtemps possible, je sortis mon sexe de sa bouche, m’agenouillai et enfilai mon sexe entre ses deux gros seins pleins de transpiration. Marie-Hélène prit elle-même ses seins en mains et, avec beaucoup de dextérité, elle entreprit de me masturber le sexe, happant au passage la petite goutte de bonheur qui perlait lorsque mon sexe s’approchait de sa bouche.
Je profitais de ma nouvelle position pour lui caresser la chatte, ses deux lèvres de plus en plus gonflées par le désir, atteindre son clitoris en pleine érection et brûlant.
J’avais atteint, à l’évidence, sa zone la plus sensible. Sous mes caresses, Marie-Hélène se mit à trembler de tout son corps. Elle allait crier et, afin d’éviter de réveiller l’hôtel, je suppose, elle me reprit le sexe dans la bouche afin d’étouffer ses cris, ses râles.
Soudain, je sentis Marie-Hélène jouir, éclater, inonder ma main baladeuse et le tapis de bain. Quasi simultanément, je me mis à jouir abondamment dans sa bouche.
Au bout de quelques instants, nous tombâmes à même le sol, nous allongeâmes côte à côte. Marie-Hélène, qui avait gardé toute ma jouissance dans sa bouche, vint m’embrasser tout aussi goulûment que lors de la fellation. Nos langues se croisèrent, s’enlacèrent. Nos corps pleins de transpiration se mêlèrent. La chaleur de ses seins était incroyable.
— Dis-moi, je ne connais même pas ton prénom.
— Gérard. Et toi ?
— Marie-Hélène. Si nous prenions un bain réparateur dans cette grande baignoire ?
Ainsi fût fait. Nous nous endormîmes dans la baignoire. Le lever du jour nous réveilla, transis mais heureux de ce que nous venions de vivre.
Nous ne nous sommes jamais revus.