1. Une pipe à Saint-Claude


    Datte: 18/11/2020, Catégories: fh, inconnu, hotel, massage, Oral nopéné, occasion, Auteur: Humoureux, Source: Revebebe

    Cette histoire m’est arrivée il y deux ans et je ne l’ai toujours pas oubliée. À l’occasion d’une visite de clientèle dans le Jura, j’avais réservé une chambre dans un hôtel à Saint-Claude, ville où les possibilités hôtelières sont très limitées. J’arrivais tard et en avais avisé la réception. À mon arrivée, le gérant de l’hôtel, visiblement gêné, m’annonça que son établissement était en cours de rénovation et que, suite à un gros problème de plomberie, j’aurais à partager la salle de bains toute neuve avec la personne occupant la chambre voisine.
    
    — Je vous rassure, il s’agit d’une personne que nous connaissons bien, habituée de notre hôtel, et je suis persuadé que cela ne créera aucun problème. Elle est actuellement au bar de l’hôtel et je vous invite à faire connaissance autour d’un verre offert par la maison.
    
    Je jetai un coup d’œil vers le bar. Une dame, la quarantaine, bien mise, plongée dans son ordinateur, serait donc celle avec laquelle j’allais partager cette salle de bains ?
    
    Nous fîmes rapidement connaissance. Elle m’expliqua qu’elle était divorcée, obligée de travailler pour vivre et assurer les études de son fils, maintenant étudiant à Paris. Guère enthousiaste pour la vie de bureau, elle avait décidé de "faire la route". Nous étions donc collègues.
    
    Comment vous la décrire ? Grande, blonde, un rouge à lèvres assez fort sur des lèvres charnues, bien en chair certainement. Une robe noire stricte et droite cachait plus ou moins ses formes, mais laissait ...
    ... supposer une belle paire de seins. Oh, elle n’avait pas dû faire les gravures de mode, mais sa classe, son élégance m’impressionnaient.
    
    Quelques whiskies-soda et nous convînmes qu’elle occuperait la salle de bains en premier et qu’elle frapperait à ma porte quand la salle de bains serait libre.
    
    J’en profitais donc pour regarder à la télé allemande la fin d’un match de football, allongé sur le lit. De longues minutes s’écoulèrent et, craignant de n’avoir pas entendu frapper à ma porte, je décidai d’entrer dans la salle de bains. Marie-Hélène était encore allongée dans l’immense baignoire et semblait endormie. Je toussotai pour manifester ma présence
    
    — Je suis désolé, je croyais avoir entendu frapper à ma porte.
    — Mais non, mais non, vous tombez bien. Auriez-vous la gentillesse de m’apporter une serviette de bain, sinon, je vais vous mouiller toute la pièce.
    
    En gentilhomme, j’amenai la serviette de bain grande ouverte vers la baignoire, me cachant le visage derrière la serviette
    
    — Mais c’est un fantôme qui arrive. J’ai peur, s’exclama-t-elle dans un grand rire.
    — Ce n’est que le grand méchant loup, rétorquai-je, en baissant la grande serviette de bain.
    
    Je pus ainsi découvrir partiellement le corps de Marie-Hélène, cette paire de seins que je subodorais et qui surnageait sur l’eau de la baignoire. Volumineux certes, mais bien formés, un peu lourds, deux grandes aréoles brunes et deux tétons que l’eau chaude du bain avait fait se hérisser…
    
    Marie-Hélène se ...
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