Le journal d'une veuve (4)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... mais c'est un autre sujet. La dernière fois que je suis allée à l'appartement, j'étais veuve depuis un an et j'avais emmené ma nièce Ludivine, âgée de 20 ans, de qui je suis très proche. Je voulais juste me changer les idées, je ne pensais pas du tout au sexe. Mais elle, si. Elle me tirait dans les boites du coin tous les soirs "pour me vider la tête", disait-elle. Et c'est vrai que j'en avais besoin. Un soir, on s'est fait draguer par deux jeunes Allemands, très dissemblables puisque l'un était un grand blond baraqué, l'autre un petit brun nerveux. J'avais un peu trop picolé et quand ils nous ont proposé d'aller faire un tour sur la plage naturiste pour un bain de minuit, je n'ai pas résisté. Le lieu était pour moi chargé de souvenirs et d'émotions. Ludivine avait des intentions et m'a soufflé à l'oreille : "tu prends lequel ?" J'ai compris qu'elle voulait se faire sauter et j'ai dit "n'importe". Elle a pris le petit brun et m'a laissé le grand blond.
On s'est retrouvé tous les quatre à poil à batifoler dans les vagues au clair de lune. Le grand blond n'était visiblement pas gêné par mon âge canonique, peut-être parce qu'il faisait assez sombre, comme dans la boite. Il m'a peloté les seins et j'ai eu une brutale envie de sa queue qui était aussi longue et fine que ses guiboles. On est revenu sur le sable où le cul du petit brun s'agitait déjà entre les cuisses grandes ouvertes de Ludivine, qui gueulait sous les étoiles exactement. Je me suis mise à quatre pattes dans ...
... le sable et son copain m'a prise en levrette. Il m'a visitée de fond en comble et j'avoue que sur le moment, ça m'a fait un bien fou. Quand on ne baise plus, on ne s'en rend pas compte à quel point le retour d'une bite est salutaire. C'était comme l'arrivée d'une pièce manquante dans mon corps. J'avais les yeux sur la tache sombre du petit bois où j'avais fait si souvent l'amour avec feu mon mari. Son copain avait déjà joui quand mon étalon me limait encore, fouillant mes profondeurs. Ludivine nous a regardés puis lui a caressé les couilles. Du coup, il s'est retiré de moi et en a mis un grand coup à ma nièce, en levrette aussi, avant de lui gicler à la figure. Un vrai porno en nocturne. On s'est lavé dans l'eau de mer et chacun est rentré chez soi. On ne les plus jamais revus et moi, je n'ai plus baisé jusqu'à Branko. J'ai quand même fait le test du VIH car dans l'euphorie, les capotes avaient été oubliées. Pas très glorieux pour un toubib et la laborantine m'a regardée d'un drôle d'air. Mais bon, l'essentiel était qu'il fût négatif, comme pour Ludivine, et j'avoue avoir été soulagée.
Bon, j'en étais où ? Ah oui, ma semaine de vacances avec Samira. Là, je n'ai plus le temps d'écrire, car cela mérite quelques développements. Excusez-moi, je reviens tout à l'heure, c'est l'ouverture de mon cabinet et mes patients m'attendent.
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(Le lendemain). Je reprends ma narration de vacances laissée hier car j'avais du monde à la salle d'attente. J'avoue que mon premier ...