1. Trahisons, ou le Retour de la Grande (19)


    Datte: 11/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... discrètes d’Emma qui se tortillait de désir sur sa chaise, envoûtée par cette saphique scène à laquelle il lui était interdit de se joindre activement.
    
    - Oh, Madame, je vous en prie ! Arrêtez ! Vous me faites horriblement trembler de désir. Mon bas-ventre entre dans des contractions insupportables !
    
    Ignorant totalement les suppliques exprimées, Sophie répondait à sa partenaire de jeux sexuels par des attouchements coquins sur les fesses et les seins. Ayant déposé son amoureuse sur le lit défait, la femme aux cheveux d’ébène entreprit de ses chaudes lèvres de nouvelles stimulations sensuelles sur sa poitrine, son abdomen et son bas-ventre. De temps à autre, des bouches de nouveau assoiffées l’une de l’autre renouaient ensemble, offrant un spectacle digne des meilleurs films porno tirés du répertoire lesbien.
    
    Littéralement torturée à la vue de ce spectacle qui lui était imposé, Emmanuelle inondait à présent la ratine d’une abondante cyprine, exprimant à la fois sur son siège désir, jalousie et frustration. Dans son supplice, la fille tentait par tous les moyens de se cambrer sur son siège afin d’exciter son bouton d’amour en le frottant directement sur le tissu qu’elle mouillait, mais sans toutefois y parvenir.
    
    - S’il vous plaît, je n’en peux plus, arrêtez ! implorait la fille maintenant en pleurs, solidement retenue en place par ses liens. Ayez pitié de moi ! Pardon !
    
    La tête dans le giron de Sophie, Alicia avait écarté à deux mains les volets donnant accès à ...
    ... ce sanctuaire des sanctuaires qui vibrait d’expectative. S’enivrant des chaudes vapeurs féminines et parfumées qu’exhalaient des muqueuses rouges et congestionnées, elle approcha son visage, puis ses lèvres et son nez qui goûtèrent un abondant jus d’amour à peine acidulé. Deux doigts caressèrent le clito déjà boursoufflé et en repoussèrent à fond le capuchon, exposant au grand jour le luisant et turgescent bouton.
    
    Une langue musclée balaya de coups successifs le petit organe, le faisant rebondir à chaque instant sur la lèvre inférieure de l’amante, arrachant ainsi chez notre petite gouine des cris exprimés en crescendo. Finement à l’écoute de ce concert de plaintes exprimant un pervers plaisir, Alicia guidait caresses et touchers en vue de combler de sa copine les plus profonds désirs.
    
    L’imminence de l’explosion de joie se fit bientôt présente, l’esclave personnelle de Sophie ayant redoublé d’ardeur. C’était dorénavant un doigt qui frétillait sur le point G de celle qui se déhanchait maintenant éperdument sur ses draps.
    
    Emmanuelle tressautait sur sa chaise, faisant sautiller celle-ci sur ses pattes qui retenaient ses membres inférieurs. D’amères larmes ruisselaient sur son thorax, s’égouttant sur la pointe de ses mamelons érigés d’excitation. La pauvre mesurait l’ampleur de sa bévue alors que regrets, remords et désirs tordaient son esprit repentant. Une simple demande, respectueusement formulée, aurait transformé le supplice qu’elle subissait en moments de sublimes ...
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