1. Le spectacle des sexes à fentes automatiques


    Datte: 25/04/2018, Catégories: fffh, freresoeur, nympho, bizarre, avion, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, facial, Oral pénétratio, fsodo, policier, fantastiqu, fantastiq, roadmovie, hfff, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... sa course une fois à notre hauteur, sous les regards ébahis des John Wayne. L’engin opéra alors une descente verticale très rapide pour se poser sur le sable, témoignant de la qualité du pilote. Au fond des entrailles de cette carapace de fer rugissait un monstre terrible d’où s’échappaient des hélices semblables à des lames de rasoir. Les vitres fumées empêchaient de savoir qui était derrière cette surprenante opération de sauvetage.
    
    C’est Verba qui fut la première à réagir. À l’apparition de l’engin dans le ciel, je l’avais aperçue esquisser un léger sourire, comme si elle avait su dès les premières secondes qu’il était là pour nous. Ce fut elle qui nous précipita vers l’engin, prenant Carnivora et Sodomia par la main pour entamer une course vers le nuage de poussière qui obstruait la vue. Si bien que sa jupette, qui voletait sur ses hanches en dévoilant le tissu de son string blanc, ne tarda pas à disparaître dans le tourbillon de sable. Les crissements de pneus des voitures pie qui avaient subitement accéléré me forcèrent à bouger à mon tour et je m’en remis aussitôt au savoir de Verba.
    
    De toute manière, je n’avais pas le choix. Le géant l’avait compris lui aussi. Il me suivait à pas cadencés, je sentais son souffle rauque sur ma nuque comme celui d’une faux sur le point de me décapiter. Nous traversâmes le nuage et je pris appui sur le montant pour grimper à l’intérieur en compagnie de Billy tandis que l’insecte métallique décollait dans un ronflement effroyable. ...
    ... Deux secondes plus tard, je faisais coulisser la porte au-dessus d’une meute de flics à qui on venait de la mettre bien profond. Ce ne serait pas encore pour cette fois !
    
    À l’intérieur du cockpit, je fus très vite persuadé que nous avions fait le bon choix et que, quelque part, nous nous trouvions en sécurité. Sanglé dans une combinaison en cuir noir, le pilote arborait une spirale sur la nuque. C’est là, à partir de ce moment précis, que je sus que je faisais enfin partie d’une famille.
    
    Quittant un instant le paysage vers lequel fondait l’insecte qui nous abritait de son ventre, le pilote détourna le regard pour me détailler de ses larges yeux bleus. Une femme. Sa peau ivoire parfaitement lisse offrait un contraste des plus frappants avec ses cheveux noir corbeau. Coupés courts, ils mettaient en lumière la finesse des traits de son visage délicieux. La vingtaine, elle affichait une fraîcheur que venaient compléter les courbes aguicheuses de ses seins dont l’empreinte jaillissait à travers le cuir de l’uniforme. D’où j’étais, je pouvais distinguer la glissière de la fermeture éclair couler entre sa poitrine. Le rail se prolongeait jusqu’à l’entrejambe comme un sillon de métal chargé de vice. Ce portrait ne s’achevait pourtant pas là. Témoignant de la furie qui habitait notre sauveur, les lèvres de la jeune femme étaient scellées par un fil argenté, semblable à du barbelé. Sa bouche était cousue, atrocement maintenue par une punition d’un autre âge, un étau de souffrance ...
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