La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1037)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... découvrant une cavité chaude et accueillante, les deux appendices dansant une lente danse langoureuse et sensuelle. Je m’arrachais à ce chaud baiser, et je redescendis jusqu’à sa ceinture avec mes mains, et autant que possible avec ma bouche, que j’ouvris. Là je fus gênée par le volant. Alors je retournai sur le siège passager, lui conseillant de profiter de ce moment pour baisser son pantalon sur ses chevilles. Puis, je le chevauchais, mais dans l’autre sens, amenant mon entre-jambe au niveau de son visage, me donnant libre accès à son sexe qui sortit de son boxer avec force tant il était déjà bandé comme un arc. D’abord à quatre pattes au-dessus de lui, je parsemais son ventre de baisers, me rapprochant de plus en plus de son pieu bien droit et épais. Je passais d’abord ma langue sur toute sa longueur, tétant son gland violacé qui laissait apparaître quelques perles de son désir, que j’avalais avec délectation. Puis en même temps que ma bouche descendait sur ce bâton de chair, je m’allongeais complètement sur lui, le forçant à sentir mes odeurs féminines de chienne en chaleur excitée.
Je commençais alors une très lente fellation. Je l’entendais se mettre à gémir, et il soulevait ses hanches pour tenter de venir à la rencontre de ma gorge. Mais ne me voyant toujours pas accélérer le mouvement (il ne pouvait pas deviner que j’étais une chienne soumise, et lui visiblement n’avait rien de Dominant donc il ne pouvait pas se douter que j’étais normalement faîte pour obéir), il ...
... décida d’abord timidement, puis plus franchement, de faire jouer sa langue autour de mon clitoris, le long de mes douces lèvres intimes, puis il finit par oser la faire glisser entre elles, goûtant, avec des gémissements de plaisir à mon excitation que je ne retenais plus. Alors, sans l’avoir vraiment voulu consciemment, nous synchronisâmes nos rythmes, et nous accélérions de concert nos mouvements, nous approchant dangereusement de la jouissance. C’est alors que je fus étonnée, car d’un mouvement brusque il me fit rouler, et exigea presque que je me mette à genoux sur la banquette arrière, les seins s’écrasant contre le dossier, et après m’en avoir demandé la permission, ce qui me fit sourire, il me demanda d’écarter mes fesses de mes mains, et il dirigea sa verge vigoureuse vers mon cul qu’il pénétra d’un coup brusque. On aurait dit que l’on venait de lâcher une bête affamée, car alors il prit les choses en main, attrapant les miennes et les maintenant en haut du dossier, il m’encula avec frénésie, ses coups de boutoirs l’enfonçant toujours plus profondément en moi. Quand, au milieu de ses ahanements, il arriva à me dire qu’il voulait m’attendre et m’entendre pour jouir ensemble. Me sentant prête à basculer, je lui hurlais alors de se lâcher et nous avons joui de concert, criant notre plaisir à l’unisson.
Nous restâmes de longues minutes ensuite immobiles, reprenant comme nous le pouvions notre souffle, en coït anal profond. Quand son sexe perdit trop de sa vigueur pour ...