La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1037)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1036) -
Après avoir exigé que je le suce jusqu’à ce qu’il se soit vidé au fond de ma gorge, il me rendit mes vêtements et me tendit une cinquième adresse, je devais donc quitter de suite les lieux… en regardant l’adresse, j’eus un moment de surprise. Je devais me rendre à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle ! Rien d’autre n’était précisé, aucun nom de contact, aucun numéro de vol, aucun horaire, et l’aéroport est tellement grand ! Toujours aussi peu vêtue, j’arrêtais un taxi, dont le chauffeur ne cessa de me reluquer via le rétroviseur. Sachant que je n’avais pas d’argent sur moi, j’étais sûre, vu sa façon de m’observer, que je n’aurai pas trop de mal à le convaincre de me laisser le payer d’une manière plus naturelle.
Je ne me trompais pas. Je lui demandais de se garer dans le parking souterrain de l’aéroport. Il me regarda étonné, je lui souris, il comprit. Quand le moteur s’arrêta, il resta assis derrière son volant, l’air hésitant. En fait en y regardant de plus près, il faisait assez jeune, et il ne devait pas se retrouver dans ce genre de situation très souvent. Je lui demandais s’il voulait que je fasse certaines, choses, s’il avait certaines envies. Il balbutia quelque chose mais rien d’audible, ni de compréhensible. J’ouvris la porte arrière du taxi pour passer à l’avant. Je n’avais pas l’habitude de prendre l’initiative dans un rapport sexuel, même du temps où je n’avais ...
... qu’une vie vanille. Mais je voyais bien que le jeune chauffeur n’oserait pas faire le moindre geste. Alors je pris une profonde inspiration et je me penchais vers lui et je pris son visage entre mes mains, je le tournais vers moi, et je posais délicatement mes lèvres sur les siennes. Je reculais un peu pour regarder sa réaction. Il avait fermé les yeux et un petit sourire se dessinait sur ses lèvres. Passant une main derrière sa tête, je le rapprochais de moi pour qu’il décolle son dos du dossier, et j’en profitais pour l’abaisser au maximum, en position horizontal, l’appui tête reposant sur la banquette arrière. Puis j’appuyais doucement sur son torse pour qu’il se laisse aller en arrière.
Je me mis alors à califourchon sur lui. Mes mains vinrent agripper son t-shirt, le sortant de son pantalon, et, tout en effleurant ses flancs, je le remontais en suivant le parcours du tissu sur sa peau avec mes lèvres, qui déposaient des centaines de baisers papillon, lui faisant apparaître la chair de poule. Lorsque j’arrivai à ses tétons, je les suçotais chacun leur tour, les mordillais légèrement. Quand je ne pus plus faire avancer le t-shirt, le chauffeur me repoussa légèrement, se redressa, et l’enleva, attrapant ma bouche au passage avec la sienne, et il se rallongea, tout en prenant garde de ne pas laisser ce contact se rompre. Il commença à se lâcher un peu, ne voulant pas garder sa langue prisonnière. Celle-ci se fit inquisitrice et ne tarda pas à venir rejoindre la mienne, ...