1. 54.3 Opération Petitcon Acasquette


    Datte: 17/11/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... je croyais que tu ne voulais plus me voir… ».
    
    Pour toute réaction, Jérém lève les yeux au ciel et souffle bruyamment en signe d’agacement, mais j’ai l’impression qu’il s’agît d’un agacement presque amusé.
    
    « On monte, maintenant ? » fait-il en dégainant un sourire coquin qui sent le sexe à plein nez.
    
    Bon, ok, les explications ce sera pour plus tard. Il y a des priorités dans la vie.
    
    Nous sommes dans ma chambre. J’ai tout juste le temps de fermer la porte qu’il m’attrape par le bras, m’attire vers le lit, m’y fait asseoir ; ses mouvements sont fermes mais pas violents ; il approche de moi, et alors que je m’attends à que sa main se pose sur ma nuque pour coller mon visage à sa bosse, le bogoss se penche, attrape le bas de mon t-shirt et avec un geste impatient, il le tire vers le haut, comme une invitation à l’enlever ; je ne me fais pas prier, je me libère de mon t-shirt, je suis torse nu.
    
    La suite, c’est le récit d’un moment qui va être très chaud. Ses mains poussent mes épaules de façon à m’obliger à m’allonger sur le dos ; un instant plus tard, il a déjà déboutonné sa braguette, enlevé son short et son boxer, tout en gardant son t-shirt blanc et sa casquette et il me bondit dessus comme un fauve sur sa proie, comme un mâle en rut sur sa femelle, m’enfonce la queue dans la bouche et commence à la baiser.
    
    D’un geste rapide, presque précipité, il attrape un oreiller, puis un autre, il les cale derrière mon cou, ce qui a pour effet de relever ma tête et de ...
    ... l’autoriser à me limer la bouche sans trop se pencher en avant.
    
    Ses coups de reins sont puissants, son gland s’enfonce dans ma bouche, à la limite de ma gorge, tellement loin que je suis obligé de retenir son bassin avec mes mains pour respirer de temps en temps.
    
    Oui, le bogoss a chaud et il est très chaud. Mais il réagit bien à mon coup de frein sur l’action, il accepte de baisser d’un cran le régime de ses ardeurs. Le bogoss prend son pied. Et le bogoss semble de bon poil.
    
    J’adore sentir son poids musclé sur moi, son torse me dominant de tout son développement, sa queue remplissant ma bouche. Et plus il prend son pied, plus il chauffe ; jusqu’au moment où, n’y tenant plus, ses bras se plient ; la casquette s’envole en premier, ses doigts attrapent le t-shirt par derrière le col ; une fraction de seconde plus tard, le coton blanc glisse sur son torse de fou, offrant à ma vue le bonheur de sa musculature puissante, de ses tatouages et de sa chaînette de mec.
    
    C’est un geste très rapide, si naturel, pourtant si chargé d’érotisme. Je crois que rien n’est à mes yeux aussi beau et excitant que de mater ce beau garçon, objet de tous mes désirs, ôter son t-shirt, se mettre à l’aise pour prendre son pied avec moi ; et, plus fort encore, ôter son t-shirt pendant qu’il est déjà en train de prendre son pied entre mes lèvres, sans pour autant que la cadence de ses coups de reins en soit un tant soit peu perturbée.
    
    Tout pris dans l’excitation des sens, il balance le t-shirt ...
«12...678...13»