COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (3/13)
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... l’immeuble avec plus de vue était déjà vendue.
J’ai dû me contenter de celui-là.
Mon dieu, que pourrais-je dire de mon logement à Besançon, spacieux mais loin d’avoir et la beauté et la valeur de la chambre où elle m’installe.
- Je t’aurais bien proposé de partager ma chambre, mais je sais, tu refuses les rapports lesbiens, je me souviens de notre rencontre à Montpellier quelque temps après mon mariage avec Johnny.
Mon Dieu, l’évocation de notre rencontre me ramène plus de trente ans en arrière.
- Johnny, je croyais que ton mari s’appelait Serge.
- C’est vrai, mais tu te souviens de la pièce consacrée à son idole dont il pensait être le parfait sosie et ses chansons qu’il passait en boucle.
Depuis mon divorce où j’ai eu la chance de le surprendre en parfaite compagnie dans cette pièce avec une de ses assistantes qui comme lui aimait l’idole des jeunes.
Je rigole intérieurement.
Notre rencontre, comment c’est elle faite ?
J’étais en vacances sur la côte avec Pierre mon ami.
Je me promenais pendant qu’il était allé faire son tiercé le dimanche matin.
J’ai vu un joli maillot de bain dans une vitrine à un prix abordable.
Je suis entrée, une femme était derrière sa caisse, le magasin était ainsi fait que les cabines lui étaient cachées.
Elle m’a indiqué le rayon où mon envie était, quand je l’ai mis à hauteur de mes yeux pour le voir dans la lumière, j’ai eu une vision de ce qui se passait dans l’une des cabines.
Une jeune femme ...
... faisait une fellation à un jeune homme.
- Tu te souviens de ton étonnement, c’était le neveu de la proprio, c’était le premier garçon que je pompais depuis mon mariage.
- Si je m’en souviens, comme si c’était hier.
C’était la première fois que je voyais une femme faire une fellation, moi-même avec Pierre je m’abstenais d’avoir ce genre de pratique.
- Depuis tu t’es bien rattrapée Anne, je me souviens du sperme sur ta figure à ta descente du camion tout à l’heure.
- Arrête, tu me fais rougir.
En papotant, nous sommes passées dans sa chambre, sans autre pudeur, elle se déshabille.
Quand elle est nue, magnifiquement conservée comme moi malgré l’attaque du temps, elle semble prendre conscience que je suis habillée.
Elle me prend par la main, nous retournons dans la chambre qu’elle m’attribue et où j’ai posé ma valise.
C’est par la salle de bains commune que nous passons.
Elle défait mon chemisier et détache ma jupe.
- Garde ta petite culotte, tu sais ici nous sommes au cap et je vis continuellement nue, même en hiver, l’appartement est très bien chauffé.
Viens boire une coupe dans mon salon, j’ai toujours du champagne au frais pour mes invitées.
Elle me sert, je me sens bête avec ce voile sur mes fesses alors qu’elle évolue nue autour de moi.
Je me rassure, elle est bien conservée mais contrairement à d’autres, nulle attirance vers elle, je suis profondément hétéro.
- Tchin, à tes vacances.
Pardon, à nos vacances, depuis que j’habite ici, ...