1. Lucas chez sa cousine (8)


    Datte: 14/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... pleine confusion. Elle était venue là pour accompagner Lucas et le remettre à cet homme, rien de plus. Et il la revendiquait, la couvant d’un regard glacé et mortel. Elle tenta de résister, bégayant presque.
    
    — Je… Je n’ai rien prévu, je n’ai aucune affaire avec moi…
    
    — Parce que tu crois que tu seras habillée chez moi ? Tu seras nue et tes orifices à disposition de tous les mâles. Monte.
    
    Matée, Amélie baissa la tête et grimpa dans le van par la porte latérale. Lucie était déjà là, en attente. Les deux filles sursautèrent quand la porte se referma en claquant ; deux plafonniers s’allumèrent alors, éclairant violemment l’intérieur. Deux hommes étaient assis sur une petite banquette fixée au mur ; quand ils se levèrent, leurs têtes touchaient le plafond. Des armoires à glace à mi-chemin entre le catcheur et l’homme de main de mafieux. Amélie frissonna, se demandant dans quoi elle s’était fourvoyée.
    
    — Bon, je vais descendre. Je vous laisse avec Lucie, prenez-en soin. Je rentre chez moi.
    
    — Tu ne vas nulle part, connasse. Tu te mets à poil, pour commencer ; je veux juger de la marchandise. Et dépêche-toi, sinon mes amis vont devenir méchants, et ils adorent ça. Toi aussi, la blonde. Vous voyez le sac de jute, vous fourrez tous vos vêtements dedans, vous ne les reverrez pas de sitôt.
    
    — Mais vous me libérez dimanche, hasarda Amélie. Vous avez promis…
    
    — J’ai menti. Pour te faire monter dans le van. Allez, à poil sinon…
    
    Dépitée, la rouquine se déshabilla ...
    ... rageusement, fourrant ses vêtements dans le sac. Lucie était déjà nue, tremblant de peur entre les deux gorilles. Ils sortirent des attaches rapides d’une mallette noire et lièrent ses poignets dans le dos, puis firent de même avec ses coudes, les joignant douloureusement.
    
    — Vous me faites mal, s’il vous plaît.
    
    — Ouvre la bouche, voilà.
    
    Un gros bâillon boule déforma la bouche de Lucie qui se le tint pour dit. Le van roulait lentement, mais des secousses faisaient ballotter les testicules distendus par le poids, ce qui arrachait des larmes de douleur à la blonde. Pendant ce temps, Amélie connaissait le même sort, complété d’attouchements pervers. Puis les deux cousines furent couchées sur le plancher du van et leurs chevilles attachées. Dès lors, les trois hommes se désintéressèrent d’elles et s’assirent en silence. La lumière s’éteignit, plongeant l’habitacle dans la pénombre.
    
    Le trajet dura longtemps, plus d’une heure selon Lucie. Elle comprit qu’ils approchaient du terminus quand le bruit des plneus lui apprit que le van roulait sur un chemin non goudronné, gravillonné sûrement. En effet, le véhicule stoppa peu après et le moteur s’éteignit. Les hommes se levèrent et ouvrirent la porte latérale sur une nuit noire. L’un d’eux coupa les liens des chevilles et releva facilement les deux filles.
    
    — Tout le monde dehors, lança le patron. Nous somme arrivés, bienvenus dans mon manoir. Vous verrez, nous serons au calme pour ce qui vous attend.
    
    Lucie avança, poussée par un ...