Lucas chez sa cousine (8)
Datte: 14/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
En fait il rappela une heure plus tard. Amélie lisait devant la télé avec Lucie blottie nue à ses pieds.
« Je n’ai pas de bonnes nouvelles, je vous préviens. Mes deux amis ne peuvent donner suite. Ne reste que le dernier. Mon impression est mauvaise, il m’a semblé brutal au possible. Il ne veut pas être dérangé par des dilettantes, des bobos qui cherchent à vivre un frisson, m’a-t-il dit, il cherche un soumis dont il fera un esclave sexuel. Ou plutôt une esclave sexuelle, car il envisage une féminisation hormonale définitive, avec ou sans l’accord du soumis. Qu’en pensez-vous ?
« Je pense que c’est possible. Je vais le contacter moi-même, si vous le permettez.
« J’allais vous le proposer.
Amélie composa le nouveau numéro après avoir coupé la communication.
« Allô, bonsoir. Je vous appelle au sujet de Lucie, j’aimerais avoir des précisions.
« J’espère juste que ce n’est pas un canular. Que voulez-vous savoir ?
« Vous êtes prêt à prendre en charge Lucie ? Ou Lucas, si vous préférez. C’est un jeune homme de dix-huit ans qui a des dispositions en fille. Petit, mince et doux.
« Il fait quoi actuellement ?
« Il est en fac de Droit.
« Si j’accepte, c’est fini, vous comprenez. Il sera chez moi à plein temps. Sa famille ne risque pas de le rechercher ?
« Il est majeur. Il pourrait faire un courrier à sa mère pour avertir qu’il quitte la France, non ?
« Oui ; je vous laisse jusqu’à demain pour les modalités. Vous habitez Toulouse ? Alors je ...
... l’attends demain à 21 heures au bas de la rue Bayard dans un van noir aux vitres fumées.
« Bon, c’est parfait pour moi. À demain.
À l’heure dite, Amélie et Lucie étaient au point de rendez-vous. Lucie, seulement vêtue d’une robe, frissonnait de froid et de peur, son sac de voyage posé à côté d’elle. Sous sa robe, point de sous-vêtement mais la cage d’acier, le poids le plus lourd à ses couilles et le plus gros plug fiché dans son anus.
Un van sombre s’arrêta à quelques mètres, Amélie comprit tout de suite que c’était le bon avant que l’homme descende côté passager. Il jeta un coup d’œil circulaire et s’arrêta sur les deux jeunes filles qui s’approchaient de lui. Il était grand et baraqué, chauve, dans la quarantaine sûrement. Vêtu de noir, polo et pantalon de toile, il avait tout d’une brute avec ses yeux durs et sa bouche épaisse et cruelle.
— Alors vous êtes là ! C’est bien, il y a trop de gens qui s’excitent à jouer au grand frisson et qui se dégonflent. Lucie, c’est la blonde ?
— Oui, bonsoir ; moi c’est Amélie, que vous avez eu au téléphone hier.
L’homme jaugea Lucie puis Amélie, les déshabillant du regard sans vergogne.
— Tu es très belle, Amélie ; tu avais oublié de le dire hier. Tu viens aussi, bien sûr. Nous somme mardi, je te libérerai dimanche matin, si tu le souhaites encore du moins. D’ici là, tu vivras une expérience qui dépassera largement tes rêves les plus fous. Montez.
Amélie était complètement immobile, paralysée par le trac, l’esprit en ...