Alicia et son papa (12)
Datte: 13/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... jouir.
Debout, Hamid me tenait par les cuisses, son pieu planté dans mon anus ; il exposait ainsi mon intimité trempée à son compère qui ne se privait pas. Ses doigts étaient plongés dans mon vagin trempé, bien serrés à cause de la présence imposante dans mes reins. Il m’amena à l’orgasme en ricanant, sachant que j’allais le payer plus tard. Puis il se répandit en moi et le grand Noir le remplaça, me pilonnant avec la tendresse d’un marteau-piqueur.
Je m’effondrai au sol quand il se retira de mon pauvre anus complètement distendu ; j’appréciai ce moment de calme ; j’avais joui trois fois, mais j’avais mal partout et j’étais épuisée. Cependant j’ouvris un œil alarmé en entendant le bruit reconnaissable entre mille du cuir qui claque. Les vigiles avaient à nouveau saisi leur ceinture et me fixaient d’un air goguenard.
— Tu ne croyais pas que trente coups seraient suffisants, non ? persifla Hamid. Et puis j’ai envie de marquer tes nichons.
— Allez, debout, mains sur la tête, coudes écartés. Les pieds à un mètre l’un de l’autre, ordonna Babacar.
Mon corps était en feu quand je me rhabillai, à midi. La seule chose positive était que les godes ne me causaient pas une gêne terrible, du moins au début, tellement mon épiderme cuisait. Je ne supportais pas le soutien-gorge et restais poitrine nue sous mon tee-shirt pour aller travailler. Marine m’accueillit avec mépris, m’adressant à peine la parole pour m’aboyer des ordres d’une voix sèche. L’après-midi passa ...
... rapidement tellement j’avais de tâches ingrates. Surveillée sans cesse par ma chef, je trimai de mon mieux sans trouver grâce à ses yeux.
Un peu avant seize heures, je trébuchai sur un carton de conserves placé au milieu du chemin et renversai un grand cageot de fruits. Marine bondit et m’insulta :
— Idiote, regarde ce que tu as fait !
— Mais… Quelqu’un a posé ce carton devant la porte !
— Tu n’a pas regardé, espèce d’imbécile ! Tu travailles lentement, et en plus tu fais sans arrêt des conneries.
— C’est pas vrai, C’est pas ma faute si ce carton…
— Ferme-la, idiote ! T’avais qu’à regarder où tu mets les pieds.
Pas facile de voir les obstacles quand on porte un grand et lourd cageot ; la personne qui avait mis ce carton en plein passage était fautive. Je pensai fugacement que ladite personne était devant moi, et l’avait fait exprès. Son air victorieux et sa méchanceté gratuite me paraissaient bizarres.
— Je vais tout ramasser et nettoyer.
— Je vais avertir la Direction et demander un blâme.
— Vous pouvez y aller, je m’en fiche, répondis-je, bravache.
Marine avança d’un pas et me décocha une gifle en aller-retour qui me laissa bouche bée, les joues en feu. Cette conne m’avait frappée !
— Mais… Vous n’avez pas le droit, protestai-je, outrée.
— Pourquoi, tu vas te plaindre ?
— Oui, bien sûr !
— Viens, on y va ensemble.
J’étais en colère, mais en approchant du bureau du Directeur, je me demandai si c’était une bonne idée. Monsieur Rodriguez ...