Alicia et son papa (12)
Datte: 13/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
Les vigiles étaient assis dans la petite salle de repos et lisaient tranquillement la presse sportive quand j’entrai après avoir donné quelques timides coups sur la porte.
— Bonjour Messieurs.
— Tiens, voilà notre petit sac à foutre préféré, s’exclama élégamment Hamid.
— Ça tombe bien, renchérit Babacar, j’ai les couilles pleines.
Ils me libérèrent rapidement de ma culotte de néoprène, après quoi je dus moi-même enlever les godes. Ceux-ci adhéraient fortement à mes muqueuses mal lubrifiées, les ôter fut excessivement douloureux. Je pleurais en extirpant tant bien que mal les épais leurres de plastique, mortifiée de l’odeur prégnante émanant de celui qui emplissait mon fondement.
— Putain l’odeur ! s’exclama Hamid. File te nettoyer, tu es dégueulasse.
Ne pouvant me résoudre à lever les yeux, je filai en cachant mes larmes de honte. Fort heureusement, des toilettes jouxtaient la salle ; je m’enfermai quelques minutes pour nettoyer les godes et mon anus béant dans lequel je glissais sans problème quatre doigts jusqu’à la jointure. À mon retour, je ne pus faire autrement qu’annoncer aux vigiles les demandes du patron et de mon père.
— Monsieur Rodriguez demande à ce que je reçoive une bonne raclée. Et papa m’interdit de jouir. Sinon, il me punira à mon retour.
— On s’en fout qu’il te punisse , comme on s’en fout que tu jouisses, d’ailleurs. Monsieur Rodriguez a dit comment tu dois être punie ?
— Non Monsieur. Il a dit « une bonne raclée », c’est ...
... tout.
— D’accord, ajouta Babacar. Tu penses à combien de coups de ceinture, toi ?
Bonjour la question piège ! Si je réponds cinquante coups, je vais déguster. Mais si je réponds seulement dix, ils vont être mécontents et ne me suivront pas. En plus ils taperont sûrement bien plus fort parce que je les aurai énervés ; il ne leur faut pas grand-chose pour monter dans les tours, ces types. Voyons, hier soir, j’ai bien dégusté avec vingt coups de ceinture, mais là, le patron était furax , ça ne sera pas suffisant.
— C’est à vous de décider, Monsieur. Mais je pense qu’il en faut vingt-cinq ou trente.
— Vendu ! On va t’en donner quinze chacun. J’ai vu que ton cul est déjà marqué, alors on va frapper ailleurs.
J’opinai de la tête, me demandant si j’allais vraiment y gagner au change. En fait, pas du tout. Ils ont utilisé la même ceinture à tour de rôle, frappant sec et fort, m’arrachant rapidement des sanglots irrépressibles. Et après avoir administré cette volée de coups de ceinture sur mes cuisses et mon dos, ils m’ont sodomisée à tour de rôle, se relayant pour ne pas jouir trop vite. À ce petit jeu, c’est moi qui ai commencé à apprécier le traitement. Malgré la douleur due à la punition , j’ai senti que mon corps me trahissait ; encore une fois, devrais-je dire. Ils n’ont pas manqué de s’en rendre compte. Impitoyable, Babacar a enfoncé trois doigts dans mon sexe trempé et l’a baratté brutalement, m’arrachant des cris puis des gémissements, quand j’ai senti que j’allais ...