La cabine de plage
Datte: 13/11/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
vacances,
plage,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Auteur: Esox43, Source: Revebebe
... hasard d’une rafale de vent, il s’agissait bien là d’une volontaire maladresse. Sa main s’était discrètement ouverte lorsqu’il était passé à proximité de mon emplacement. Était griffonné à son envers : si tu le veux, cabine de plage n°11…
La chose se passa vite et intensément.
Quand j’entrai dans la cabine, Achille se tenait debout dans la pénombre, un sourire presque timide sur le visage. Je me glissai tremblante au fond du réduit et dans le croisement de nos deux corps, je le trouvai plus immense encore. Il émanait de lui des fragrances mêlées de musc et d’huile de monoï, et son corps était chaud de soleil.
Nous nous fixâmes dans la semi-clarté, de longues secondes, cependant qu’à l’extérieur les bruits de la plage résonnaient sur les quatre pans de planches aux couleurs chamarrées.
Les yeux rivés dans les miens, et toujours sans un mot, Achille tira son slip de bain sur ses chevilles. Un bâton de chair se déplia et se détendit en direction du plafond comme une branche enfin soulagée de ses trop lourds fruits.
Cette scène était proprement magnifique, et fut l’instant le plus érotique de ma vie…
Cet attribut disproportionné, assorti de deux grosses bourses de cuir, conférait un côté animal à Achille. Comme nous l’avions tout autant fantasmé que deviné de nos yeux fureteurs, le membre d’Achille était énorme et dans la pénombre de la cabine, je ne voyais que cette protubérance incroyable, simplement éclairée par quelques planches mal jointes, par lesquelles ...
... les enfants aiment à lorgner pour s’encanailler.
J’étais tremblante devant tant de beauté, de bestialité. Avec douceur, et sans un mot, il me fit mettre de dos, m’intima de me pencher en avant, les mains jointes et fermement cramponnées à la patère au fond de la guérite.
Il voulait me prendre debout, en levrette. Je me laissai faire, hypnotisée, fascinée d’être entre les mains de l’homme sur lequel tout l’objet des fantasmes avait porté depuis plus d’une semaine.
Il glissa une main entre mes jambes flageolantes qu’en réflexe j’écartais comme pour une fouille au corps. À l’échancrure de ces dernières, il écarta lentement, sur le côté, le tissu élastique de mon maillot une pièce, dégageant l’ouverture de mon sexe, et se collant à mon oreille, il me demanda, comme on tient un rideau entrebâillé, de retenir ainsi le tissu jusqu’à ce qu’il me prenne…
De sa main droite il effleura mes seins par-dessus le maillot, je ne pus réprimer un frisson qui m’électrisa l’échine. Il vint alors déposer un baiser dans mon cou et dans le même temps je me sentis envahie, d’une unique et lente poussée, par la chose la plus grosse et la plus brûlante qui m’ait jamais pénétrée.
Achille me prit ainsi de longues minutes, saisissant ma taille de ses larges mains. Il me prit en butée au fond de mon ventre, avec douceur et virilité mêlées.
Jamais je ne fus ouverte ainsi. Mon orgasme fut terrassant et se perdit au milieu des cris des enfants à l’extérieur.
Mes jambes en furent coupées ...