Douglas
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
... vous voulez venir voir mon atelier ».
Elles terminèrent la visite en visitant les autres stands et reprirent le chemin du retour. « Ouah le black, je m’en aurais bien fait mon quatre heures » dit Judith. « Et en plus il n’habite pas très loin, à peine une heure de route. Ma petite Judith, ta sexualité est en berne et tu aurais bien besoin de t’éclater un peu. Mais si tu permets je vais passer avant toi, je te raconterai. Moi, ce black il me fait mouiller rien que d’y penser. »
Deux jours plus tard, Clotilde profita de sa demi-journée de repos et se rendit à l’atelier du peintre. Il était près de seize heures quand elle franchit la porte de l’immeuble et entreprit de gravir les escaliers menant au troisième étage. Pour la circonstance, elle avait opté pour une tenue sage bien qu’elle savait ce qu’elle venait chercher. L’atelier était vaste, éclairé par de grandes verrières renforçant la lumière renforcée par un éclairage blanc. Le peintre était debout devant une toile. Comme le dimanche précédent, il était torse et pieds nus, vêtu d’un jean élimé. Il sourit en voyant sa visiteuse.
« Bonjour Doug. Et bien, comme vous nous aviez donné votre carte, que je passais dans le coin, je suis venue voir votre atelier et vos toiles. C’est vous qui avez arrangé ce loft ainsi ? C’est joli et cosy. Il y a longtemps que vous êtes installé ici ? »
« Qu’est-ce que ça peut te foutre...puisque t’es venue pour baiser. Les blanches sont toujours plus salopes avec les noirs. Tu vois, ...
... moi, je suis un descendant d’esclave. Alors quand le hasard me met sur le chemin d’une jolie blanche, je lui montre qui est le maître. Et tu n’auras pas à te plaindre. J’ai de quoi te satisfaire et au-delà. Comment veux-tu le faire ? Assis, couché, debout, à genoux, par devant, par derrière, sur le côté ou bien tu veux un cocktail ? Par contre, à dix-huit heures je te fous à la porte. » Clotilde le regardait, peu habituée à ce discours. Les mots avaient porté et elle se sentait excitée. Une chaleur s’embrasait, naissant du fond de son ventre et irradiant jusqu’à la pointe de ses seins et empourprant ses joues. Doug la fixait des yeux. Il déboutonna son jean et s’en débarrassa. Il ne portait pas de slip. Sa verge, libérée, était en position de repos mais sa taille avoisinait celle d’un bandeur normalement constitué. Deux boules rondes, de la taille d’une petite mandarine ballotaient. Clotilde ne pouvait détacher ses yeux du pénis d’ébène.
« Approche. Je suis sûr que tu as envie de me sucer ».
Clotilde s’agenouilla devant le peintre, et posa sa bouche sur le gland. Elle voulait le sentir durcir, s’ériger, pulser. Elle entreprit de l’aspirer, lapant avec sa langue. Petit à petit, elle sentit la verge durcir, se redresser jusqu’au zénith, dépassant largement le nombril. La verge avait encore grossi. Doug la redressa et la plaqua contre lui. Elle sentait une barre dure pulser contre son ventre. Doug avait posé ses larges mains sur les fesses de la jeune femme, les malaxant avec ...