0214 Nuit torride et douce à la fois.
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... tarder à jouir » je lui annonce quand même en implorant dans ma tête pour qu’il me laisse gicler dans sa bouche.
Mais alors que je commence vraiment à en avoir non plus seulement envie, mais carrément besoin, ses lèvres quittent soudainement ma queue.
« Je sais, mais pas de suite » je l’entends me répondre, alors que sa belle petite gueule émerge une dernière fois des draps.
Le bogoss s’allonge sur le matelas, juste à côté de moi.
« Allez, suce ! » il m’intime, l’air amusé autant qu’excité, faisant écho à mes propres mots, se moquant gentiment.
Injonction tout à fait superflue, alors que sa queue tendue aimante déjà mes lèvres.
« Je suis sûr que tu as encore des choses à m’apprendre… » me balance le petit con.
Un instant plus tard, j’avale sa queue et je commence à le sucer comme si ma vie en dépendait. Comment il m’a chauffé ce petit con ! Mon excitation se met au service de mon envie de faire plaisir à mon bobrun et ma pipe devient de plus en plus vigoureuse. Le bogoss frissonne de plaisir.
Puis, à un moment, je décide de changer de position. J’invite mon bobrun à se relever, je m’allonge à sa place, la tête légèrement relevée, appuyée contre l’oreiller. Le bogoss n’a pas besoin de dessin pour capter mes intentions. Il se met à cheval sur mon torse, il glisse sa queue entre mes lèvres et commence à les limer vigoureusement. J’encaisse avec bonheur ses coups de boutoir, tout en envoyant mes mains caresser ses épaules, tâter ses biceps et ses pecs, ...
... agacer ses tétons.
« Je le savais que tu avais encore des choses à m’apprendre » il me lance, en parfait mode petit con.
Pour toute réponse, j’empoigne ses fesses et je les attire un peu plus vers ma bouche. Le bogoss capte vite le message, ses coups de reins se font encore plus puissants, sa queue s’enfonce encore plus profondément dans ma bouche.
« Ah, putain, c’est bon ça… tu vas m’avoir… ».
Non, je ne veux pas l’avoir comme ça. Je le repousse doucement mais fermement.
« Qu’est-ce que tu fais ? » je l’entends protester.
« Allonge toi sur le ventre » je lui annonce.
Le bobrun s’exécute sans poser d’autres questions. Je me glisse entre ses cuisses musclées, j’attrape ses fesses rebondies et j’enfonce mon visage dans sa raie. Ma langue se rue sur son petit trou. Mon bobrun frissonne. Je m’enhardis, j’écarte un peu plus ses fesses, je lance ma langue à l’assaut de son intimité. Ses ahanements appuyés m’encouragent à me déchaîner, à aller de plus en plus loin.
« Ah, putain, n’arrête pas, c’est trop bon » je l’entends lâcher, fou de plaisir, alors que j’émerge un instant pour reprendre mon souffle.
« Vas-y ! » il me lance, la voix extrêmement excitée, tout en se relevant sur ses genoux, en cambrant ses reins et en m’offrant son intimité sans réticences. Je me dis que pour se laisser aller de la sorte, c’est qu’il doit vraiment prendre son pied.
Ses jolies boules rebondies me donnent envie de lécher un peu de ce côté-là. Mais mon bobrun sait ce qu’il ...