0214 Nuit torride et douce à la fois.
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... nouvelle fois son bassin s’éloigne, une nouvelle fois sa main vient enduire son entrejambe de salive. Jérém revient se coller contre moi, son trou capte direct mon gland, la pression de son bassin redevient insistante. Et là, j’ai l’impression que la résistance de sa rondelle est sur le point à céder, l’impression que je vais glisser en lui. Mon cœur fait un sprint vers des rythmes délirants. C’est une sensation tellement extrême que j’en ai comme le vertige. C’est ma première fois. J’ai peur et j’ai très envie en même temps. J’espère que Jérém sait ce qu’il fait et qu’il ne va pas se mettre en pétard plus tard !
Je commence à me préfigurer ma première sodomie en tant qu’actif, je commence vraiment à en avoir envie, lorsque son bassin s’éloigne avec un mouvement brusque. Jérém se cale sur le flanc, loin de moi. Dans le noir, je l’entends reprendre son souffle. Je suis presque certain qu’il a mal.
« Ça va ? » je lui demande tout bas.
« Ouaiss ».
Et je me retrouve là, avec ma trique d’enfer, abasourdi par ce qui a failli se passer. Et à m’imaginer toutes les conséquences de cela, sans avoir le cran de lui poser la moindre question.
Quelques minutes plus tard, je détecte un changement dans la respiration de mon bobrun qui m’annonce qu’il s’est rendormi. Je devrais essayer d’en faire de même.
Lorsque je me réveille à nouveau, de la lumière rentre déjà par les ouvertures de la petite maison. Mon bobrun est toujours au lit, allongé sur le dos, ses bras et ses ...
... pecs dépassent des draps, beau comme un dieu. L’odeur de sa peau nue m’enivre. Sa proximité me donne le tournis. Une envie violente s’empare de moi. L’envie de réveiller mon bobrun avec une bonne gâterie matinale, l’envie de le prendre en bouche et de retrouver le goût de son petit jus chaud de mec.
C’est une envie tellement violente que je ne peux pas m’y opposer. Alors, je me glisse sous les draps et je commence à caresser doucement la bête encore endormie.
« Nico… » je l’entends soupirer, la voix encore pâteuse.
Je le prends en bouche, je commence à le pomper et je sens sa queue grossir peu à peu.
« Tu fais quoi ? ».
« J’ai envie de te sucer ».
« T’es fou, toi ! ».
« Tu n’aimes pas ? ».
« Tu veux me tuer ».
« Non, juste te faire jouir ».
« Ce matin, c’est libre-service sans assistance » il lâche, en paraphrasant la réplique de Lola à Daniel du soir précèdent. Et alors que je recommence à le sucer, il laisse retomber lourdement son dos sur le matelas.
J’ai envie de rigoler, mais je suis avant tout rassuré que mon bobrun semble de bon poil et que ce qui vient de se passer un peu plus tôt dans la nuit n’a pas affecté notre harmonie. Mais de quoi avait-il réellement envie cette nuit ?
Je le pompe avec bonheur, je le pompe avec entrain. Assez vite, sa queue se tend à bloc. Quant à son jus, il ne tarde pas non plus à jaillir de son gland et à atterrir dans ma bouche. J’adore la puissance de ses jets, j’adore ce goût, cette odeur, ce témoignage ...