Le rut du bouquetin
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
montagne,
hh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
hdanus,
Auteur: Alpin en string, Source: Revebebe
... en rester là. Je me retourne face à lui et me malaxe lentement la bite à travers le string tout en me caressant l’intérieur des cuisses. Ma queue grossit à vue d’œil. Elle se dessine maintenant clairement sous le tissu qui ne tarde pas à être imbibé de la mouille que mon gland ne cesse de cracher.
— Mais tu trempes ta culotte comme une cochonne, mon salaud !
Il faut avouer que j’adore me branler ainsi à travers mon slip, sentant de plus en plus de moiteur sur mes doigts qui caressent mon gland à travers le tissu léger. À chaque frottement de l’étoffe, il rejette une nouvelle perle grasse. J’en ai bientôt le bout de l’index et du majeur poisseux et de sentir ainsi grandir l’humidité entre mes cuisses m’excite encore plus. J’ai l’impression d’être une vraie salope. Je porte le doigt à ma bouche, le lèche goulûment, pour profiter pleinement de ce goût indéfinissable, rehaussé par cette petite odeur que j’ai toujours trouvée agréable.
Je cesse enfin de le nettoyer et le montre à mon compagnon :
— Tu aurais peut-être préféré que je l’utilise autrement, ainsi lubrifié ?
Sans attendre sa réponse, j’humecte à nouveau mes doigts avant de me mettre à quatre pattes, le cul bien en l’air. J’écarte alors le string de ma raie, dégageant ainsi mon anus qui n’attendait que cela. Je me caresse doucement, faisant des ronds mouillés autour de ma rondelle, me rapprochant petit à petit. J’enfonce enfin mon doigt d’un coup, sur toute sa longueur. Je sens mon sphincter se ...
... resserrer au passage des phalanges visqueuses. Je me cambre davantage, poussant un râle de satisfaction, les faisant aller et venir en de longs mouvements entre mes fesses. Je prends un réel plaisir à trifouiller ainsi à l’intérieur de mon cul et cela s’en ressent à l’humidité de mon string qui ne cesse de s’accentuer à chaque mouvement dans mon anus.
J’arrête enfin mes caresses, me relève et porte à nouveau mon doigt à la bouche. Son goût est plus prononcé, relevé par l’odeur de mon rectum, mais loin d’être désagréable. Enivré par ce parfum âcre, je jette un coup d’œil à mon compagnon. Le plaisir semble être partagé car il se branle maintenant franchement, son pantalon sur les talons. Il a un sexe de bonne taille, long et épais, avec de grosses veines et un prépuce important qui va-et-vient sur son gland au rythme de ses caresses. À chaque mouvement, il ramène à son extrémité de grosses gouttes mousseuses qui finissent par dégouliner le long de sa verge et sur ses doigts.
Il me tend alors son index.
— Tu as peut-être envie de le lécher aussi celui-là ?
Sa question ressemble fort à un ordre que je m’empresse d’exécuter. Je m’approche suffisamment pour qu’il puisse poser son doigt sur mes lèvres. Je les entrouvre alors pour accueillir dans ma bouche ces phalanges baveuses que je lèche avec gourmandise. Pour ne rater aucune goutte et bien le nettoyer, je commence à faire des va-et-vient le long de ce doigt, lèvres fermées, aspirant légèrement, yeux fermés pour profiter au ...