Le rut du bouquetin
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
montagne,
hh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
hdanus,
Auteur: Alpin en string, Source: Revebebe
Grand soleil aujourd’hui sur les Alpes ! J’ai bien fait de mettre le réveil un peu plus tôt et de filer vers la montagne. Il faut dire que la saison du rut du bouquetin débute et j’espère bien en observer quelques-uns. Le spectacle des vieux mâles s’élançant les uns contre les autres est vraiment impressionnant. Et si la chance est de mon côté, peut-être aurais-je le privilège de voir une saillie…
Je ne suis pas le seul à être attiré par ce spectacle malgré l’heure matinale : après quinze minutes de marche, une fois la bergerie passée, j’aperçois un homme observant en direction de la falaise. Je prends en main ma paire de jumelles en tentant de repérer à l’œil nu l’objet de tant d’attention mais ne distingue pas grand-chose. Je m’approche alors de lui et j’en profite pour le regarder un peu mieux : la quarantaine, assez grand, plutôt costaud, bref taillé pour la montagne, il est plutôt bel homme.
À deux mètres, j’engage la conversation :
— Bonjour, bouquetins ?
— Bonjour, oui une petite harde, là-haut, au pied de la falaise.
Je pointe mes jumelles dans la direction indiquée, effectue un réglage minutieux et enfin aperçois les animaux tant convoités.
— Ah oui, ça y est, je les vois. Un, deux… cinq… dix… Il y en a une bonne quinzaine.
— Il y a même quelques jeunes qui ont entrechoqué leurs cornes tout à l’heure. Dommage qu’ils soient si haut.
— Il y a un sentier qui monte jusqu’à la falaise. Si ma compagnie ne vous est pas trop désagréable, allons-y ensemble ...
... et tentons de les approcher.
— D’accord pourquoi pas !
Nous voilà partis pour une ascension le long de la pente raide. Régulièrement nous faisons une halte pour reprendre notre souffle, repérer les éventuels mouvements de notre troupe de bouquetins et boire un peu d’eau. Il faut dire que la montée est difficile. Hélas, après vingt minutes de marche, nous sommes obligés de nous arrêter : le sentier rendu glissant par les premières neiges devient dangereux et il ne serait pas prudent d’aller plus loin sans être sûr de pouvoir redescendre par un autre chemin. Le pire est que le chemin nous a conduits à l’autre extrémité de la combe où se situent les animaux. Nous sommes certes montés à leur altitude mais nous ne nous sommes pas pour autant rapprochés d’eux !
— Si ce n’est pas malheureux !
— Eh oui, il y a des jours comme ça…
Je pose alors le sac à terre et je m’accroupis pour y ranger ma paire de jumelles qui risquerait de me gêner dans la descente.
— C’était pour mieux attirer le bouquetin que tu as mis un string ?
Je me retourne, autant surpris par ce tutoiement soudain que par l’allusion à mon string, et réalise qu’en me penchant mon polo était sorti de mon pantalon dévoilant le haut de mon slip. Il faut croire qu’il est suffisamment visible pour que mon compagnon de randonnée ait bien pu voir le tissu qui se resserre et plonge entre mes fesses. Je sens mes joues rougir.
— Il ne faut pas en être gêné, dit-il en souriant.
Ses paroles douces me rassurent ...