Trahisons, ou le Retour de la Grande (14)
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: simson3, Source: Xstory
... de sa langue. Non, un épiderme si doux, si soyeux, offert d’une façon si tendre, ne pouvait qu’appartenir à une femme empreinte d’un immense sentiment d’amour et de compassion. De délicats et saphiques bruits de succion buccale complétèrent cette sensuelle dégustation qui calma de façon magique la jeune Amélia.
- Je me sens déjà mieux à votre contact, Madame, finit-elle par avouer. Je… faites de moi ce que bon vous semblera. J’ai maintenant confiance et je vous offre ma soumission.
Sophie garda le silence. D’un nouveau signe de tête, elle invita Alicia à s’occuper d’Anna. Docilement, la femme obtempéra et entreprit de consoler à sa façon l’autre recrue qui s’abandonna immédiatement à elle, sa culotte abondamment mouillée témoignant déjà de sa perverse expectative.
- Je vais maintenant te faire de douces caresses qui vont te détendre davantage, annonça la rouquine en faisant sentir son souffle sur les seins de la petite Amélia. Et je ne te déculotterai que si tu m’en fais la demande. Ça te va comme ça ?
- Oui, Madame, c’est… c’est ok pour moi. S’il vous plaît, ne me mordez pas les seins, je vous en prie ! implora l’autre dans un dernier relent de méfiance.
- Ben non, cocotte ! Crains ...
... pas. Je ne vais pas te mordre les seins, ni le ventre, ni les fesses.
Amélia s’abandonna aux saphiques câlins de Sophie qui la sentit davantage perdre ses appréhensions alors que sa respiration se faisait plus lente et plus profonde. Les yeux fermés, la petite brunette semblait de plus en plus apprécier les marques d’attention portées à son corps qui gagnait en chaleur, les mamelons délicatement aspirés par les lèvres de sa jeune maîtresse et le minou chatouillé par des doigts furtifs au travers de sa culotte de fin coton.
- C’est en t’embrassant que je vais te faire goûter à ta mouille, ma chérie.
Ces dernières paroles de Sophie ouvrirent toutes grandes chez Amélia les vannes de son intimité. Des petits seins fermes et durcis par l’excitation continuaient de se faire tendrement lécher par la rouquine qui prenait un évident plaisir à faire glisser ses lèvres sur toute la surface des attributs féminins de la jeune brunette aux longs cheveux.
- Oui, Madame. Je…, oui, déculottez-moi maintenant, mais… mais…
La phrase ne fut pas complétée. Amélia était très consciente qu’elle n’avait pas tout dit à celle qui l’initiait aux plaisirs lesbiens.
(À venir : Lady D, la consolatrice, partie II)