1. Trahisons, ou le Retour de la Grande (14)


    Datte: 09/11/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... nous battait sans arrêt. Nous en avions marre de cette vie de misère. Si nous avions été mineures, on aurait appelé ça une fugue. Nous étions dans la rue et craignions de tomber entre les mains des gangs. Notre maîtresse nous a recueillies en nous promettant soutien et protection en échange de notre soumission. Voilà pourquoi nous sommes maintenant ici.
    
    - Mais lorsqu’on a vu dans quel milieu nous étions rendues, je me suis sentie très mal, confessa la plus jeune. Evnika semblait si douce quand elle nous avait abordées dans la rue, et maintenant… quelle horreur, quelle déception !
    
    - Ma sœur est terrorisée depuis ce jour, compléta Anna en essuyant une larme sur la joue de sa jeune sœur.
    
    - Ne craignez rien, mes enfants, leur sourit Lady D. Tant que nous serons là, ma copine et moi, tout ira bien. Maintenant, laisse-toi faire, s’adressa-t-elle à Amélia. Veux-tu t’abandonner à mes caresses ?
    
    Ce disant, Sophie émit un signe de tête à l’intention d’Alicia et d’Anna à l’aide desquelles elle entreprit de coucher la jeune sur des coussins disposés au sol.
    
    - Toi aussi, Anna, tu vas goûter à nos douceurs. Garde ton slip pour le moment, si tu désires.
    
    Toujours prise d’un vif sentiment d’insécurité et de crainte, Amélia sentit ses bras se faire saisir par Alicia qui se tenait à la tête alors que Sophie s’étendait sur elle, lui faisant sentir son souffle sur ses menus seins qui pointaient sous la fraîcheur de la pièce.
    
    - Je vous en supplie, Maîtresse, ne me faites pas ...
    ... de mal ! J’ai tellement souffert tantôt ! On me disait pourtant que vous étiez très douce avec le harem. Je ne sais plus quoi penser ! ajouta-t-elle dans un sanglot étouffé.
    
    - Ne crains rien, ma belle, la rassura l’autre. Ce n’est pas moi que tu as vue tout à l’heure. C’est Evnika, ma femme, qui se servait de moi. Maintenant, abandonne-toi, tout simplement. Mon désir est que tu changes d’opinion à mon sujet.
    
    - Madame… excusez-moi mais… on m’a dit aussi que vous étiez très belle. On vous décrit comme mignonne. Vous voir nue devant moi me rassurerait.
    
    Sophie consulta Alicia du regard, qui acquiesça aussitôt. La rouquine se releva et entreprit de se dévêtir, ne gardant que son J-string, exposant ainsi son papillon tatoué sur la fesse droite.
    
    - Oh oui, Maîtresse, c’est vrai que vous êtes jolie, fit remarquer Amélia alors qu’Alicia, lui ayant libéré une main, lui permettait de caresser un sein presqu’aussi juvénile que les siens. Votre peau est si douce… et elle sent si bon.
    
    Sur l’ordre de Sophie, les bras de la jeune furent complètement libérés, permettant à cette dernière d’enlacer librement sa dominatrice. La rouquine approcha son mamelon de ses fines lèvres :
    
    - Tu peux goûter, si tu veux. Je t’en accorde le privilège. Laisse ta belle petite langue faire connaissance avec les tétons de ta maîtresse.
    
    Ayant fermé les yeux, la fille s’exécuta. Dans un désir nerveux, elle aspira doucement la moitié du sein de Sophie et le réchauffa de ses muqueuses internes et ...
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