Un raton laveur au paradis
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
ffh,
fbi,
frousses,
vacances,
forêt,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
Humour
québec,
couplea3,
nature,
Auteur: Ingyt, Source: Revebebe
... agrippa les cheveux pour la forcer à me pomper plus vite et plus profondément. Moi, je la fourrais toujours avec mes doigts et ma langue. C’était fantastique, presque trop. Parfois Pierrette relevait la tête de Marie pour la frencher puis la forçait à me ravaler. Au bout d’un moment j’allais enfin venir, mais…
Elles me lâchèrent pour faire un beau 69, Pierrette en dessous. Je me faufilai derrière Marie pour la pénétrer en sentant Pierrette me gober les couilles. Un pur bonheur.
Parfois je sortais ma bite du vagin pour me la faire sucer par la tante et, à la troisième fois, Marie me dit :
— Dans le cul, Paul… Mais doucement.
C’est ce que je fis, prudemment, tandis que Pierrette lui léchait la vulve.
Quelle sensation que d’être dans le cul étroit de Marie Lemieux en sentant sa tante lécher mes couilles et sa plote tandis qu’elle, elle léchait sa tante ! Sublime.
Je l’enculai un bon moment, apercevant soudainement l’écureuil sur la table de cuisine qui nous fixait comme si ça pouvait l’exciter celui-là. Je sortis ma bite du cul pour la fourrer dans la bouche de Pierrette, puis dans le vagin de Marie et encore le cul et ainsi de suite jusqu’à ce que l’orgasme arrive. J’avais le choix pour décharger, je choisis le cul et lui remplis le rectum de foutre chaud avant de me faire sucer encore un peu par Pierrette puis je les laissai s’amuser toutes les deux en allant manger un peu avec l’écureuil et me faire un bon café.
Elles finirent par s’endormir dans les ...
... bras l’une de l’autre et j’allais les rejoindre en bâillant, mais le maudit Kato me sauta sur un mollet…
Assis dans le salon de ma nouvelle vie à prendre mon premier café du matin, je regardais par les grandes baies vitrées une grosse neige floconneuse tomber sur la forêt et la cascade. C’était magnifique.
Marie arriva, portant encore le pyjama d’homme qu’elle enfilait toujours pour dormir, café à la main et, malheureusement, ses énormes pantoufles roses à longs poils aux pieds. C’était navrant de voir qu’une femme aussi brillante et intelligente que Marie osait porter une atrocité pareille. Elle resta debout devant moi à regarder la neige tomber. La lumière hivernale rendait son pyjama transparent, elle ne portait rien en dessous.
— On va avoir de la visite en fin de semaine, m’avertit-elle en se grattant une fesse.
— Qui ? demandai-je en l’admirant tête penchée. Pierrette ?
— Marie-France Corbeil, une amie d’enfance.
J’avalai ma gorgée un peucroche et toussai. C’était donc elle l’autre vedette connue avec qui elle baisait. Marie-France Corbeil, la petite brunette animatrice qui faisait bander tout le monde.
Wow !
Marie me regarda tout sourire.
— Seigneur, Paul, t’as les yeux ronds comme des billes. Tu bandes dessus toé avec, on dirait.
— Ben, un peu.
Elle vint s’asseoir sur mes pauvres genoux qui craquèrent atrocement et me dit :
— J’y pense, j’ai déballé tes dernières boîtes, pis je les ai trouvées.
— Ah, et quoi ?
— Tes pantoufles Homer ...