1. La « Lancenoir » (7)


    Datte: 08/11/2020, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... palais, si délicieux, si irrésistible, elle savait que si elle commençait à en avaler, elle n’était pas sûre de pouvoir s’arrêter avant d’avoir tout englouti. Ce n’est qu’en recrachant sur une tartine qu’Amadou lui tendait qu’elle se rendit compte qu’elle avait songé à avaler le foutre d’un noir avec délice. Elle en eut un frisson de répulsion. Qu’est-ce qui lui arrivait ? Devenait-elle une salope ? Une traînée prête à s’avilir pour faire plaisir à un noir ? Impossible !
    
    Amadou coupa le toast en deux, et ordonna : « Donne une part de toast a chacun de tes parents, c’est la tradition. »
    
    Toute nue, elle s’approcha de ses parents, tendant à chacun une moitié de toast. Hélène regarda sa part avec curiosité. La tranche de pain grillé débordait de foutre, elle en sentait l’odeur, à la fois rance, mais aussi d’une virilité inégalée. Quant à la texture, tout le pain était mou, imprégné de la semence... En tout cas, elle ne fit aucune difficulté pour montrer à sa fille qu’elle était prête à faire sa part pour alléger son fardeau. Elle mordit dans le toast, remarqua l’air jaloux de sa fille. Ça n’avait rien d’étonnant, le foutre était onctueux, coulait dans sa gorge comme un gouleyant velouté. Rien qu’à avaler cette mixture d’homme noir, elle se sentait rajeunir. Ça n’avait rien à voir avec la substance gluante de son mari... Ça faisait d’ailleurs bien longtemps qu’elle ne finissait jamais ses pipes avec sa bouche, mais le branlait quand elle le sentait prêt à éjaculer son petit ...
    ... filet de sperme.
    
    Jean devant l’exemple de sa femme se conforma lui aussi la tradition de la « Lancenoir ». Mais il n’aurait pas pu analyser le goût qu’avait le sperme, dégoûté par l’acte contre-nature qu’il accomplissait. Il était cependant stupéfait par la quantité de sperme sur la tartine, il aurait fallu qu’il se branle des dizaines de fois pour obtenir une telle quantité.
    
    Après cet interlude matinal, la famille reprit ses habitudes ; les deux parents prenaient un petit-déjeuner « normal » quand les deux amants partirent. Pour les parents de Léa, il leur fallut toute la journée pour commencer à accepter ce qui arrivait à leur fille. En tout cas, au travail, ils eurent du mal à se concentrer. Hélène ne cessait de penser à la bite du grand noir. Elle en était arrivée à un tel point qu’elle dut se masturber plusieurs fois dans les toilettes de l’entreprise. Il lui suffisait de fermer les yeux pour revoir la gigantesque matraque que sa fille suçait ce matin, et avait encore le goût du foutre dans la bouche. Elle se sentait comme une droguée qui avait besoin d’une nouvelle dose. Jean lui était anxieux, il avait vu que sa femme et sa fille semblaient plus admiratives qu’outrées par le comportement et le physique du noir, et il était aussi jaloux : À n’importe quel moment de la journée, ce noir pouvait baiser sa fille, alors que lui n’avait aucune gonzesse sous la main. Même sa femme il fallait qu’il insiste longtemps et passe par d’interminables préliminaires avant qu’elle ...