Mûres58/jouir par la bouche5 envie de fourrer Odet
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
Mature,
Auteur: langauchat, Source: xHamster
... finit par se relever.
-Tu as bien léché, salope. Je ne vais pas te demander de recommencer avec Odette. Tu aimes la voir ainsi, les mamelles à l'air? ça te dirait, si les mamies frustrées du salon de thé se déboutonnaient comme ça, prêtes à se faire palper, dans l'espoir qu'un monsieur vienne se branler entre leurs masse de chair toute douce et pendante?
Ce serait beau de les voir tendre les bras vers les hommes qui passent et qui leur plaisent, en essayant d'effleurer leur braguette...au moment de l'addition, le garçon s'arrêterait vers la blonde, la plus jolie, et se ferait sucer en guise de pourboire. La vieille blonde toute maigre et sophistiquée lui laisserait des traces de rouge à lèvres sur la bite, mais il ne giclerait pas dans sa bouche. Il se retirerait, parce qu'une autre dame, les cheveux blancs, bien en chair, lui ferait des signes de s'approcher, en faisant des mouvements rapides et obscènes avec sa grosse langue. Il irait découiller dans la bouche de la grosse dame.
Alors, vas-y, branle-toi entre les seins d'Odette. Je veux vous voir.
Ils sont bien gros pour la branlette espagnole. C'est parfait.
Après m'être frotté la tige entre les deux masses de chair, je me suis retiré, présentant mon gland irrité à la bouche de la vieille dame.
-Non, hurla presque la maîtresse, décidément très déterminée à me contraindre. ...
... Reviens entre ses seins, et vous, Odette, sortez votre langue.
Branle-toi entre ses seins, et frotte ton gland sur sa langue. Je veux voir sa langue toute pleine de foutre.
Odette tirait la langue aussi loin qu'elle le pouvait. Cela lui donnait une expression de vieille cochonne aux appétits insatiables. finalement, la sensation était plus subtile qu'une bonne pipe conventionnelle. Les nichons d'Odette, chauds et enveloppants, chauffaient ma bite, dont l'extrémité était délicatement chatouillée par la langue veloutée de la dame blonde.
-Ah, voilà, très bien, souligna la maîtresse lorsque la langue de la vieille dame recueillit mon lait de couilles. j'avais l'impression de verser du sirop dans une cuiller à soupe.
Si seulement les vieilles dames voulaient tendre leurs langues aux étudiants, aux hommes frustrés, aux célibataires...il y en aurait du bon sirop de couilles qui se répandrait, et cela les exciterait de voir tous ces hommes qui ne demanderaient qu'à jouir pour elles. Elles se laisseraient ensuite baiser et enculer.
La maîtresse s'éclipsa assez rapidement.
-Vous avez envie de baiser tous les deux, je le vois bien... alors ne vous gênez pas, moi je dois y aller.
En me regardant, elle ajouta:
-fourre-là sans ménagement. Il lui faut de la bite...fais-la bien mouiller.
Je me promis de suivre ses recommandations.