Mûres58/jouir par la bouche5 envie de fourrer Odet
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
Mature,
Auteur: langauchat, Source: xHamster
Mes doigts tremblaient en actionnant l'ascenseur de l'hôtel. Entre la vieille dame pulpeuse et moi, un fluide avait passé, et pas seulement sous la forme de coulées vaginales sur mes doigts, en catimini sous une table, tout à l'heure dans le salon de thé.
J'avais envie de satisfaire sa lubricité joviale, et de la tirer, comme on dit vulgairement, de la voir couchée, m'attendant sur le lit, de grimper sur elle, de la foutre tout simplement, en missionnaire, trop impatient pour sucer ses gros seins, ni pour faire des fioritures linguistiques sur son vieux clitoris frustré. Ma tige vigoureuse voulait pulser sans attendre dans la vieille foufoune gourmande, et contempler, après une jouissance foudroyante, mon sperme engluer ses poils tristes lorsqu'il déborderait de la dame essoufflée.
Cette rencontre n'avait été rendue possible que par la Maîtresse. La subtile et perverse maîtresse avait mis des conditions draconiennes à cette rencontre. Odette et moi ne pourrions jouir que par nos bouches.
En poussant la porte, je ne m'attendais pas à ce que ce soit précisément la maîtresse qui m'ordonne de la lécher. Elle était censée rester passive, et se faire mouiller en me regardant lécher la vieille.
Odette ne s'était pas déshabillée. Elle avait gardé son tailleur et sa jupe, à cette différence que son chemisier était ouvert, et que ses gros seins explosaient en-dehors du soutien-gorge.
Je mourrais d'envie de toucher ces vieux melons provocateurs, puis d'arracher les ...
... vêtements d'Odette, avant de la placer, obscène, ouverte, les cuisses écartées sur le lit pour fourrer mon museau dans ses poils, pour me gaver sans finesse de son vagin poisseux, avant de m'y enfoncer joyeusement.
La maîtresse avait revêtu sa combinaison de cuir. Elle n'avait qu'une fermeture éclair à descendre pour libérer sa vulve rasée.
L'ordre était sec, précis. Je devais me coucher tout de suite sur le tapis.
Elle s'accroupit sur mon visage, et m'ordonna de la lécher.
Je ne voyais plus rien, la vision de sa fente avait été trop rapide. Mon nez s'écrasait contre le cuir qui moulait ses fesses.
toute mon énergie était passée dans ma langue. Je voulais la lécher comme un forcené, comme une pute, comme la pute à vieilles dames que je pourrais être.
Mais la maîtresse ne voulait pas être bouffée goulûment. Pas question d'aspirer sa mouille à ma guise, ni de lécher voracement. Dès que je me faisait trop pressant, elle relevait le bassin, si bien que seul le bout de ma langue ne pouvait effleurer, comme une vague, ses lèvres intimes qui pendaient, passives, comme des algues dans une grotte marine.
Moi qui voulait foutre de la vieille chatte à grands coups de reins, je devais lécher tout délicatement la maîtresse, je devais exécuter des figures tout autour de son clitoris ému, comme une danseuse qui fait des pointes sur le parquet d'une piste de danse.
Je ne sais pas combien de temps j'ai dû lécher la fente de cette baronne du vice. Toujours est-il qu'elle ...