1. Sortie en Mer


    Datte: 24/04/2018, Catégories: fh, inconnu, bateau, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Grankeurmalad, Source: Revebebe

    ... faisait un mal de chien, mon envie était trop forte. Je me relevai d’un coup, combattant la faiblesse de mes jambes. Je l’entraînai avec moi jusqu’à l’entrée de la cabine. Là, je la basculai vers l’avant, le front sur la planche de bord. Docile, elle attendait la suite. Enfermée depuis trop longtemps, ma queue était congestionnée, mais un simple passage entre ses cuisses l’amena rapidement à l’horizontale, voire plus. Mes deux mains passèrent alors devant, en haut de ses cuisses, pour mieux la maintenir. Sa vulve offerte à deux centimètres de mon gland était gonflée et palpitante. Le premier contact la fit mouiller un peu plus. Elle était étroite mais je sentis son muscle se relâcher pour faciliter la pénétration. Je m’enfonçai en elle lentement pendant qu’elle relevait ses talons.
    
    Attirant sa tête vers moi, je caressai ses seins tendus, pinçant ses pointes. J’avais la sensation magique que tout son corps m’appartenait. Passant ma main entre ses cuisses, je récupérai du bout de mon doigt le liquide qui coulait, pour venir le déposer sur son clitoris survolté. Je sentais mon membre tout proche la travailler en cadence. Sournoisement mon majeur s’invita à la fête, dilatant un peu plus son anneau. Rapidement ce rythme fusionnel déclencha le départ d’une onde de plaisir qui me fit exploser par saccade tout au fond d’elle. Ses cuisses enserrèrent ma queue pour en tirer toute sa substance, les spasmes me laissèrent pantelant et essoufflé un bon quart d’heure, écroulé sur son ...
    ... dos.
    
    Encore chancelant, j’entrepris de récupérer les éléments de la banquette rangés à l’abri dans la cabine, pour améliorer notre confort immédiat. Elle m’aida maladroitement à établir le solarium ainsi formé à l’arrière du bateau, puis je redescendis chercher une bouteille d’eau et les serviettes de bain dans le capharnaüm provoqué par cette chevauchée sur les vagues. Les cannes à pêches, les gilets de sauvetage et tout ce qui s’y trouvait, étaient maintenant cul par-dessus tête.
    
    Quand soudain je l’entendis crier :
    
    — Les dauphins ! Les dauphins !
    
    À vrai dire, je les avais un peu oubliés, ceux-là. Ma tête dépassant de la coursive je l’aperçus à quatre pattes, nue sur les matelas, me tournant le dos. Un banc d’une demi-douzaine de spécimens croisait tout près par l’arrière, impudique, ne me cachant rien du sien, elle s’était avancée jusqu’au plat-bord et, prête à basculer, elle frappait de sa main la surface de l’eau, quand à mon grand étonnement un dauphin s’approcha d’elle. Dans l’eau transparente, l’animal se dressait à sa rencontre. Quelle image !
    
    Le cousin de Flipper sortait maintenant la tête de l’eau. Elle était entièrement penchée vers lui, ses fesses cambrées vers le ciel. Fasciné, je m’approchai d’elle et, assis sur mes talons, j’admirai le spectacle sans pour autant m’empêcher de déposer ma main sur sa chatte soyeuse. J’écartai son accès encore trempé. Me glissant sur le dos, je me retrouvai sous elle, à explorer sa fente du bout de la langue. Sensible ...