1. Mad (11)


    Datte: 06/11/2020, Catégories: Trash, Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... de retrouver le père aimant de mon enfance. J’ai fait coulisser ce sexe rigide dans ma bouche, l’ai léché comme il m’a demandé de le faire et ai avalé quand il a craché sa semence. J’étais prête à tout pour qu’il me pardonne toutes les bêtises dont je me croyais coupable. Je pensais vraiment que me donner à lui allait arranger les choses, mais je me trompais.
    
    Ça a été pire après. Ses moments de sobriété étaient de plus en plus rares. Il me trouvait toujours des trucs à me reprocher pour m’engueuler, puis avoir un prétexte pour me prendre. Parfois, je prenais les devants et m’agenouillais devant lui afin de le satisfaire avant que sa colère ne l’emporte et que je n’en subisse les conséquences. Je préférais qu’il se calme de cette manière, et puis je dois avouer que je commençais à ressentir une certaine forme de plaisir.
    
    Un soir, il est rentré à la maison une nouvelle fois ivre mort. Il venait de perdre une forte somme au jeu. J’étais déjà couchée quand il a pénétré dans ma chambre. Il s’est assis sur mon lit et a commencé à me caresser les fesses. Tout en m’expliquant à quel point j’étais une fille dévouée et aimante, il a commencé à me trifouiller le cul avec deux de ses gros doigts dégoûtants. J’étais nerveuse ; je commençais à comprendre ce qu’il voulait, mais il ne m’avait jamais encore prise par là. J’avais peur d’avoir mal. Il s’est déshabillé et est venu se placer au-dessus de moi.
    
    Je l’ai repoussé ; ça ne lui a pas plu. Il m’a traitée de fille ingrate et ...
    ... d’égoïste. J’ai fini par accepter sa requête tout en lui faisant promettre d’y aller doucement. Il s’est enfoncé d’un coup sec dans mon fondement, me faisant pousser un cri de douleur, et il a commencé à me sodomiser violemment. Je me suis laissée faire tout le long en attendant patiemment qu’il ait terminé mon calvaire. Il n’arrêtait pas de me dire qu’il m’aimait, que j’étais tout pour lui ; et moi je le croyais et je me laissais malmener. Malgré la douleur, j’éprouvais même une forme de fierté et de plaisir à satisfaire papa.
    
    — Tu es ma chose ! m’a-t-il gueulé. Tu n’es bonne qu’à me donner du plaisir, à me vider les couilles. Tu es la pute à papa ! Répète-le !
    
    — Oui, papa, je suis ta chose, ta pute, ton vide-couilles.
    
    Ça a été suffisant pour le faire jouir. Il a beuglé un coup puis s’est écroulé sur mon lit, sombrant rapidement dans le sommeil. La nouvelle crise était passée. Moi, je me suis levée pour aller prendre une douche. L’eau s’est mélangée à mes larmes de douleur tandis que du sang et du sperme coulaient de mon anus.
    
    C’est là que j’ai compris que tout ceci était vain. Mon père ne m’aimait pas. Il était mort en même temps que ma mère. Il n’avait plus rien de l’homme qu’il était dans le passé : il ne restait plus qu’un spectre qui cherchait un exutoire en moi. Me donner ainsi à lui ne servait à rien. Ce fut une révélation ! Et puis, il y avait cette ombre dans le miroir, celle-là même qui hantait de plus en plus mes cauchemars. Elle me murmurait d’en finir ...
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