1. Jeux entre frères (14)


    Datte: 05/11/2020, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... ça quand ?
    
    — Maintenant … ?
    
    — Ok, monte dans la salle de bain j’arrive, et toi Julien si ça te dis, tu peux prendre un bain dans la piscine ; et après on fait péter le champagne.
    
    Elle était restée un peu avec mon frère, le temps que je prépare tout ce qu’il fallait dans la salle de bain à l’étage pour qu’elle me rasât le pubis et les couilles aussi.
    
    « Ça va être le pied, elle va me faire des trucs ; j’ai hâte, j’ai hâte » pensai-je.
    
    Justement, elle entra dans la pièce et ferma la porte à clé. Alors que je m’avançais vers elle ; elle leva la main pour me stopper en me disant :
    
    — Stop ! Antoine, j’ai compris ce que tu veux ; c’est moi que tu veux ?
    
    — Oui, Maman tu es si belle, je t’aime, je voudrai être tout à toi…
    
    — D’accord, mais avant tout, tu vas me prouver que tu es un homme !
    
    — Oui Maman, pour toi je ferai tout ce que tu veux.
    
    — Alors branle-toi !… Allez !
    
    Surpris mais convaincu que le dénouement de mon envie incestueuse était proche, je pris ma bite en main en me branla avec énergie. Ma mère, les bras croisés sur sa poitrine et adossée à la porte de la salle de bain, me regardait fixement dans une position très désinvolte. Ses yeux passaient alternativement de mon visage à mon sexe pendant que je m’astiquais le poireau ; j’y mettais tellement d’ardeur que je transpirais comme un bœuf. Mais en peu de temps je me sentis gêné, un sentiment de honte commençait à m’envahir ; ma bite ramollissait et mon envie s’évanouissait doucement. Alors ...
    ... elle s’approcha de moi.
    
    — Alors mon chaton, un coup de mou ? Tu veux un coup de main ?
    
    — …
    
    Un flot de sang me monta au visage, j’ai dû devenir rouge écarlate et avec ma bite toute molle en main ; je me sentais ridicule. Elle me planta un regard féroce dans les yeux, celui qu’elle faisait lorsqu’elle était en colère ; je me mis à regarder le sol. Je ne vis pas arriver la magistrale paire de claques qu’elle m’envoya. Sur le coup je fus sonné, mes oreilles bourdonnaient et les larmes montèrent immédiatement. De mémoire, je n’ai pas souvenir d’en avoir pris une aussi terrible de sa part.
    
    Mon envie de baise avec ma mère s’écroula instantanément, j’étais en colère. L’espace d’un instant je fus en colère contre elle, car elle m’avait fait miroiter des choses qu’elle me refusait tout à coup. Je trouvais ça dégueulasse de sa part avec en plus un sentiment de trahison, et elle m’avait ridiculisé. Mais je pris rapidement conscience que le dégueulasse c’était moi et mon fantasme ridicule, j’avais sali ma mère. Alors la colère se retourna contre moi ; intérieurement je me traitais de con, d’abruti, d’obsédé. Je compris mon erreur : j’avais fait du mal à Maman, alors je fondis en larmes et le sermon arriva :
    
    — Tu as compris, Antoine ; je ne veux pas de ça. Je veux bien vous faire des petits câlins, même tout nu. Ta bite, tu la gardes pour tes copines. Si tu es en manque et que tu n’as personne avec qui jouer, chose que je comprends, tu te débrouilles tout seul, mais surtout pas ...