Jeux entre frères (14)
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
J’étais maintenant convaincu que j’allais enfin faire l’amour avec Maman. Nous étions en voiture au retour de la gare et pendant qu’elle conduisait, je lui caressais doucement la cuisse.
— Ah mais dis donc tu as aussi les mains douces !
— Tu aimes ?
— Oui, j’aime bien ; mais tu sais Antoine. Je connais bien mon frère et je ne serais pas étonné que ces filles soient venues chercher des caresses et peut-être plus ; et comme dit Lucienne : on ne fait pas des chats avec des chiens, car mon frère… enfin bref !
L’étau se resserrait, elle cherchait à savoir si nous avions couché avec nos cousines. J’étais paniqué, et mon frangin roupillait à l’arrière ; je tentais une échappatoire.
— Et avec papa, comment ça se passe ?
— Mal, mais ne sois pas inquiet, car je ne vous empêcherai pas d’aller le voir ; mais pour moi c’est terminé.
— Bon, tu n’es pas triste alors ?
— Pas du tout, et puis j’ai mes deux petits hommes. Tiens, on arrive ! Tu ouvriras le portail, s’il te plait ?
Je sortis de la voiture, ouvris le portail, Maman gara la voiture dans la cour gravillonnée, et mon frère se réveilla, nous récupérions nos sacs. Maman reprit la parole :
— Bien, Julien tu as entendu ce que j’ai dit à ton frère dans la voiture ?
— Non… ?
— Ah, je lui ai donné les nouvelles règles de la maison.
— Ah oui… et c’est quoi ?
— Maman m’a dit qu’on doit rester tout nu tout le temps à la maison, c’est cool…Hein ?
— Oui c’est cool, et tu dois être content ?
— ...
... Pourquoi tu dis ça, tu n’as pas envie de le faire.
— Bien sûr que si, c’est tellement agréable d’être tout nu tout le temps ; Maman ! Antoine ne te l’a pas dit ?
— Dis quoi ? interrogea-t-elle.
— Bah ! On vient de passer deux semaines à poil, et il ne t’en a pas parlé ? Pour une fois qu’il ne dit pas de conneries !
J’eus l’impression de passer pour un imbécile, mais j’étais aux anges ; elle m’avait dit qu’elle s’occuperait de moi. Du coup je m’imaginais qu’elle me câlinerait, me toucherait, me ferait sans doute une pipe, et qu’on ferait l’amour ; j’avais hâte.
Nous entrâmes dans la maison et Maman commença à se déshabiller.
— Prenez vos sacs et suivez-moi que je mette votre linge à laver, enfin s’il y en a !
Nous étions tous les trois dans la buanderie, Maman se déshabilla et quand nous enlevâmes notre short :
— Ah mais vous n’avez pas mis de caleçon ! C’est cool, merci pour les économies de linge et de lessive. Allez montrez-moi votre bronzage.
Mon frère et moi tournions sur nous-mêmes, et moi en demi-érection.
— Joli …! Vous êtes superbes, votre bronzage est vraiment très joli et si régulier ; dommage qu’il y ait ça ! commenta-t-elle en me tirant sur mes poils pubiens.
— Aïe… ! Et tu crois que ça fait si moche que ça ? demandai-je.
— Moi je n’aime pas trop, mais c’est votre corps ; vous faites ce que vous voulez.
— Alors je veux bien essayer, mais tu me le feras, car j’ai peur de me couper ; hein Maman ?
— Si tu veux, et tu veux faire ...