Photos de famille (8)
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... supérieur.
Bien trop occupée à goûter la friandise de sa sœur, Sabrina ne pouvait remarquer l’animation que son activité provoquait. Isolée du reste du monde par les jambes que Gwenaëlle refermait au gré du plaisir que lui procurait sa sœur, l’univers sonore de Sabrina se cantonnait aux bruits mouillés de sa langue œuvrant dans l’intimité de son aînée. Quant à son champ de vision, elle était si concentrée que ses yeux n’avaient d’intérêt que pour ce trésor de chair qu’elle dévorait. Et si les yeux de Gwen se perdaient dans un semblable décor, c’était que la succulente anatomie de sa benjamine formait son seul horizon.
Les deux frangines n’avaient aucune expérience des plaisirs saphiques, mais les gémissements qui animaient la chambre prouvaient leurs prédispositions naturelles en la matière.
Gwen broutait sans ambages le minou de sa sœur qui se répandait en liquides abondants sur sa langue. Liquides qui devaient avoir toutes les propriétés d’un aphrodisiaque puisque plus elle en avalait, plus elle voulait en boire. Des mains, elle écarta les deux adorables globes blancs, dévoilant un œillet rose qui l’attirait comme une confiserie. À cet instant précis, elle aurait adoré avoir une queue – et elle enviait Anton pour cela – afin de connaître les sensations que lui procurerait ce petit trou délicat. En l’absence dudit pénis, elle se contenta d’y introduire son majeur, auparavant enduit de mouille. Le doigt entra sans qu’aucune résistance ne lui soit opposée, et la ...
... réaction de Sabrina à cette intrusion fut des plus favorables. Lorsque l’index, puis l’annulaire, rejoignirent le doigt solitaire, la jeune femme montra la satisfaction procurée par ce trio digital.
Anton se déchaînait dans la bouche d’Ophélie, étonnée de la véhémence de son ami. Mais elle comprenait qu’il soit excité par cette découverte, elle-même n’y étant pas insensible. Elle aurait aimé pouvoir se regarder dans une glace à cet instant, observer sa joue déformée par le chibre, ses yeux d’où avaient coulé des larmes lorsque la queue s’était aventurée dans sa gorge, son visage qui devait être maculé de noir. Il ne restait plus qu’à attendre les jets de sperme pour parfaire un look exécrable et lubrique ; elle avait failli dire « de petite traînée ». Non, il ne s’agissait que d’un concours de circonstances. D’ailleurs, rien ne prouvait qu’il lui éjaculerait sur son visage ; peut-être lui laisserait-il tout avaler ?
Sabrina écarta en grand les lèvres de sa sœur, avec la ferme intention d’y enfoncer le plus profond possible sa langue dont elle adorerait emplir cette grotte, lécher les parois de ce vagin si accueillant, à l’odeur si enivrante. La lubricité de ses idées croissait à mesure que Gwenaëlle lui enfonçait des doigts dans le trou du cul ; surtout lorsqu’elle les faisait tourner avec délices. Elle songea un instant qu’elle aurait dû agir ainsi avec son mari : cela aurait peut-être sauvé leur couple. Puis lui vint à l’esprit que dans tel cas, elle n’aurait pas bénéficié ...