1. Photos de famille (8)


    Datte: 05/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    Une faible lumière dansante éclairait la chambre. La lampe d’ambiance, une vieillerie offerte par Anton à sa petite sœur fascinée par cet étrange objet découvert lors d’un vide-greniers.
    
    Le cylindre scintillait d’une myriade de confettis d’aluminium ballottés au gré des courants ascendants et descendants animant le liquide translucide que l’ampoule chauffait. Tandis que sa mère faisait le tour des vendeurs, Sabrina était restée plantée là, subjuguée par le ballet incessant des paillettes. C’était son premier sourire depuis le décès de leur père, treize semaines auparavant. Anton acheta la lampe qui illuminait le visage redevenu radieux de sa petite sœur.
    
    — Cette lampe est magique. Penses-tu qu’un génie en sortira pour me proposer trois vœux si je la frotte ? avait-elle demandé.
    
    — Et quel vœux ferais-tu ?
    
    — Que papa revienne !
    
    — Je ne crois pas qu’un génie habite dans cette lampe, mais elle est magique, oui. Elle a remis des étincelles dans tes yeux.
    
    Depuis ce jour-là, Sabrina vouait un amour indéfectible à son frère. Quoi qu’il fasse, elle était toujours de son côté.
    
    La lumière changeante suffisait toutefois à éclairer la scène à la manière d’une boule à facettes tournant au ralenti. Des escarbilles multicolores semblaient danser dans la chevelure flamboyante de Sabrina, et sa tête qu’encadraient deux jambes ne laissait aucun doute sur l’activité qu’elle menait. Des gémissements étouffés ponctuaient le silence ne servant que de bande originale à ce ...
    ... spectacle inattendu.
    
    — Que se passe-t-il ? demanda Ophélie, constatant l’immobilité de son ami.
    
    Anton se retourna vers elle, l’index sur les lèvres. Il allait se retirer sur la pointe des pieds afin d’expliquer en toute tranquillité qu’Ophélie devrait se passer de maillot mais, piquée par la curiosité, elle tendit le cou et balaya la chambre du regard. Si elle avait eu une culotte, elle en aurait mouillé le fond. Elle glissa une main entre ses cuisses, et dans ce geste elle put constater par le contact avec son avant-bras qu’une bosse déformait le peignoir d’Anton. Il avait beau se montrer réticent avec l’inceste, il ne pouvait résister à certains spectacles. De sa main libre elle tira sur un pan du peignoir et découvrit la queue érigée comme on dévoile une statue lors d’une inauguration.
    
    Ophélie non plus ne sut résister à la tentation ; ses lèvres se refermèrent autour du membre. Il parut soulagé de sentir cette bouche offrir son encouragement. Excité par la scène, il ne se perdit pas en conjectures ; adossé au chambranle de la porte, il empoigna la chevelure d’Ophélie, tout étonnée de cette virulence inhabituelle. Dans l’élan, le gland pénétrait parfois sa gorge et elle réprima avec difficulté quelques haut-le-cœur sonores. Elle se demanda si Anton n’avait pas, en fin de compte, l’intention de signaler leur présence, auquel cas cette soirée risquait de se terminer en partouze au bord de la piscine. À cette idée, l’humidité de son sexe fut portée à un niveau ...
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