1. Gloria


    Datte: 04/11/2020, Catégories: fhhh, extracon, inconnu, sauna, Oral pénétratio, Partouze / Groupe totalsexe, bourge, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... je le souhaite. Mais là, ce baiser, c’est quelque chose ! Un truc à mouiller sa culotte si j’en avais une ! Ou bien c’est un virtuose du baiser, ou bien il me fait un effet monstre ! Je dois lui faire aussi de l’effet, car il s’enhardit encore plus, et sa barre plaquée contre mon ventre devient de plus en plus dure et imposante…
    
    De mon côté, je ne reste pas passive, et c’est à qui de nous deux dévorera l’autre. Je suis comme folle ; je l’embrasse partout, lèvres, joues, nez, cou. Je deviens vorace ; je le mordille partout avant de replonger avec délectation sur ses lèvres, entre ses lèvres, nos langues entremêlées se caressant mutuellement.
    
    On dit que le baiser est un simulacre de rapport sexuel. Si c’est vrai, alors ce n’est pas le septième ciel que j’atteindrai avec lui, mais le huitième ou le neuvième. Arrondissons allègrement au dixième : oui, ce type me fait un effet monstrueux ! Apocalyptique même… Et tant pis si je me damne et que je me brûle les ailes ! Décidément, aujourd’hui aura été la journée des révélations.
    
    Il se débarrasse de ses vêtements en un temps record sans cesser de m’enlacer et de m’embrasser. J’ignore comment il a pu faire, seul le résultat compte. Il est à présent nu contre moi, tout contre ; je peux inlassablement profiter de lui, de son corps bien fait et tout chaud.
    
    — Allez, viens !
    
    C’est avec un profond soupir de satisfaction que je le sens entrer en moi. Oh oui, je veux être toute à lui, rien que pour lui ! Je veux qu’il me prenne, ...
    ... qu’il me fasse décoller, que j’aie plein d’étoiles dans les yeux et plein de papillons dans le ventre ! Je m’agrippe à lui ; tant pis pour son dos, pour ses bras. Je le veux plus encore en moi tandis qu’il me pistonne férocement, qu’il essaie d’être encore plus profondément en moi.
    
    — Oh oui, oh oui, encore !
    
    C’est fou ce que je suis en train de vivre ! Je suis comme secouée de tas de mini-orgasmes qui explosent les uns derrière les autres. À peine le temps que s’évapore le plaisir qu’un autre prend sa place, légèrement plus intense. Je commence à avoir du mal à respirer ; mes yeux se brouillent, mon corps me semble étranger, mais totalement irradié de ravissement.
    
    — Oh oui, vas-y, vas-y, encore !
    
    Je pars dans un long cri ; je tombe dans un puits sans fin, je tourbillonne sur moi-même, je ne sais plus où est le haut, où est le bas : il n’y a plus que ma jouissance et lui, Didier, lui toujours en moi, pour moi, rien que pour moi, rien qu’à moi !
    
    — Oh ouiii ! Ouiii ! Ouiii !
    
    Je meurs, aspirée par un vaste maelström ! Puis je renais, plus éclatante que jamais. Nouvelle femme, docile objet de plaisir, de désir, de tant de choses inconvenantes… Je meurs ainsi bien des fois ; je renais ainsi bien d’autres fois, prenant mon plaisir, donnant du plaisir, loin de toute considération morale. Et tant mieux si je me damne et que je me brûle les ailes ! Décidément, aujourd’hui aura été la journée des révélations !
    
    —oOo—
    
    Étendue sur le matelas au sol, fesses à l’air, ...