1. La « Lancenoir » (10)


    Datte: 23/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... cette blanche qui une heure plus tôt ne connaissait même pas son prénom.
    
    Lorsque Marie-Louise ressortit du local, elle était assez honteuse. Tellement qu’elle n’avoua pas à ses amies ce qui lui était arrivé. Quand Delphine et Albertine lui demandèrent ce qui s’était passé avec Amadou elle répondit :
    
    « Il m’a montré sa bite.
    
    — Et alors ?
    
    — Alors elle était encore plus grosse que je l’imaginais.
    
    — OOOhhh !
    
    — C’est quelque chose que si on ne l’a pas vu par soi-même, on ne peut tout simplement pas se rendre compte.
    
    — Et tu l’as juste regardé ?
    
    — Eh bien, j’y ai touché un peu. C’était étrange, quelque chose qu’on ne peut pas trop décrire, mais c’était sensationnel. »
    
    Cette conversation mit des idées dans la tête des deux filles. Elles aussi voulaient voir de leurs propres yeux la bête colossale. Albertine fut la seconde à aller voir Amadou et obtenir son rendez-vous dans le local. Et la séance se déroula de la même façon, si ce n’est que ce n’était Bankélé qui se cachait dans l’ombre, mais Moussa. Le résultat fut le même, Albertine fut copieusement tronchée et fourrée par une bite de noir.
    
    Quand elle ressortit, elle était d’abord ravie de s’être si bien fait baiser. Puis, elle en voulut à Marie-Louise de lui avoir menti. Elle avait deux mots à lui dire... Sauf qu’en arrivant devant elle, et la voyant continuer à mentir effrontément à leurs autres amies, Adeline, Irène, Solange, elle aussi se mit à mentir et même à en rajouter :
    
    « J’y suis allée. ...
    ... Et non seulement elle est énorme, mais elle est dure comme du roc ! S’il le voulait, il pourrait planter un clou avec. »
    
    Marie-Louise et Albertine ne furent donc pas les seules à aller dans le local. Presque toutes les heures, une nouvelle blanche bien propre sur elle entrait dans le local à vélo. Elle y pénétrait en prenant l’air hautain, se sentant comme une aristocrate venant observer un animal du zoo, puis une demi-heure plus tard, elle ressortait bien plus humble et la chatte rempli de foutre par un noir qu’elle ne connaissait pas. Elle avait le pas mal assuré, encore étonnée de s’être fait besogner aussi sauvagement et aussi merveilleusement.
    
    Quand les filles qui s’étaient faites sauter par un des noirs étaient entre elles, elles se mettaient à parler de leur expérience. Essayant de déterminer quel noir leur avait enfilé sa queue dans leur foufoune parfois vierge. Puis celles qui avaient déjà eu une expérience avec un autre homme, un blanc, expliquaient en quoi la baise avec le noir était supérieure. Elles partageaient leur avis, l’une évoquait sa sodomie, une autre le goût qu’avait eu le sperme quand elle l’avait avalé. Toutes étaient ravies, et encore plus en voyant les autres filles qui ignoraient de quoi elles parlaient leur lancer des regards jaloux. À la fin de la journée, toutes les filles qui n’étaient pas encore entrées dans le local à vélo pour observer la queue d’Amadou ne rêvaient que d’être les prochaines sur la liste.
    
    Pendant ce temps, les potes ...
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