1. La « Lancenoir » (10)


    Datte: 23/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... Et puis de toute façon, ça ne sert à rien, tu es bien venu ici pour toucher de la queue de black... Alors je vais te rendre ce service avec plaisir.
    
    — Mais... Amadou... il devait être ici, parce que... J’ai entendu sa voix.
    
    — Tu veux dire quand je prends un ton un peu africain "comme ça." Suffit de prendre un accent africain et vous pensez que toutes nos voix sont pareilles. Mais je vais te confier un secret sur Amadou... il ne laisse pas la première blanche venue lui toucher la bite. Pour se faire baiser par lui, ça demande du travail. Et ça commence par être une bonne amie avec ses potes... Alors, sois ma bonne amie, et sors ma bite de mon pantalon, tu verras qu’elle est grosse comme tu les aimes.
    
    Marie-Louise pensa le contredire. Puis elle se rappela qu’elle était effectivement venue ici pour voir une bite énorme. Alors au point où elle en était, autant aller jusqu’au bout et voir une grosse queue de black. Elle s’approcha du noir, et se mit timidement à lui effleurer la queue. Sa taille était bien ridicule par rapport au gourdin d’Amadou et elle fut un peu déçue de ne pas se trouver avec un monstre entre ses mains... Mais elle se rendit vite compte qu’elle était aussi largement plus grosse que celle de son ex-petit-ami blanc. En continuant à caresser la queue, elle devint impressionnée... Elle se demandait l’effet que cette bite maousse lui ferait si elle s’enfonçait dans sa petite chatte bien propre et bien blanche. Puis il lui vint à l’esprit que, d’après Léa, ...
    ... la queue d’Amadou faisait deux à trois fois cette taille, la simple idée d’être prise par ce genre d’engin suffit à lui faire mouiller la chatte.
    
    Sentant le trouble dans les yeux de Marie-Louise, Bankélé se mit à lui rouler une belle galoche, et sans lui laisser le temps de réagir il passa une main sous sa chemisette pour lui triturer les tétons. Marie-Louise était complètement perdue. Elle pensait venir ici et s’amuser de l’anomalie d’Amadou, peut-être même s’en moquer. Et voilà qu’elle se trouvait entre les mains d’un noir qu’elle ne connaissait même pas, qui la touchait de partout pendant qu’elle avait la main sur sa bite en train de la caresser doucement.
    
    Et si elle ne le repoussait, est-ce qu’il ne la ferait pas chanter avec les propos racistes et dégradants qu’elle avait proférés ? Elle raisonna que c’était une bonne raison pour laisser le noir faire d’elle ce qu’il voulait. Mais en son for intérieur, elle savait qu’elle avait surtout la chatte en feu, et une envie presque incontrôlée de se faire enfiler.
    
    Dans la demi-heure qui suivit, toutes les personnes qui passèrent à proximité du local à vélo entendirent des cris de plaisirs, des appels à se faire prendre comme une chienne, et des demandes à être traité comme la dernière des putes. Marie-Louise semblait avoir oublié toutes ses bonnes manières, elle était prête à tout pour que le noir la défonce avec sauvagerie, la tringle jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Et Bankélé n’était que trop heureux de fourrer ...
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