1. Le sandwich du métro (1)


    Datte: 01/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... finalement m’empoigner un sein. J’entends son hoquet lorsqu’il réalise que je n’ai pas de soutien-gorge (c’est l’été…) et que ma robe est très fine : même s’il n’a pas osé laisser sa main, il a bien dû sentir mon téton, durci par l’excitation de voir mon vis-à-vis bander.
    
    Finalement, de cahots en cahots, il finit par me peloter régulièrement le sein droit. Il passe sa main entre la paroi du wagon et moi, les autres passagers ne voient rien et il vient se coller dans mon dos. A la dureté que je sens contre mes fesses, je comprends que lui aussi apprécie bien le moment… La situation m’énerve au début ; en même temps je ne peux m’empêcher d’apprécier. Comme toutes les femmes, je déteste qu’on me considère, en paroles ou en gestes, comme un objet sexuel, mais là je n’ai pas envie de le repousser, ça me plait : parfois, ce genre de situation dans les transports en commun m’excite. Les contacts interdits, la peur que les autres remarquent...
    
    Il glisse, l’air de rien, son autre main entre nous et soulève progressivement l’arrière de ma robe, jusqu’à avoir accès à mes fesses qu’il pelote à travers ma culotte. Je n’ose pas bouger. Il ne faut pas que ça aille plus loin. Mais je ne veux rien dire, pour éviter le regard des autres passagers si je fais un scandale. Je l’ai laissé faire jusque-là, il a même commencé à glisser sa main droite sous ma robe pour la placer sur mon sein nu : j’ai déjà beaucoup accepté de sa part…
    
    A la station suivante, il arrête ses gestes, attendant ...
    ... que les mouvements de passagers se soient stabilisés et, une fois sûr qu’on ne nous voit toujours pas, il reprend.
    
    Devant moi, mon sympathique voisin n’en perd pas une miette. Il ouvre de grands yeux quand il devine, à un renflement sur l’avant de ma robe, que mon peloteur de derrière a passé la main gauche entre mes cuisses et me caresse devant. Je n’ose plus le regarder dans les yeux.
    
    C’est alors que je sens une autre main, sur mon sein gauche cette fois : c’est lui. Il me regarde d’un air interrogateur, semblant demander ma permission. Je lui souris. Il regarde discrètement autour, personne ne fait attention à nous. La vieille dame qui nous tourne le dos est toujours là et fait écran. Un groupe d’ados bruyant attire l’attention désapprobatrice de tous. Mon vis-à-vis passe tout de suite sa main sous ma robe et me pelote activement, en murmurant « J’enlève les dernières miettes », ce qui me fait rire. « J’apprécie votre dévouement… »
    
    Il place alors une de mes mains sur son entrejambe, me faisant masturber son érection à travers son pantalon. Puis il défait discrètement le bouton et la fermeture-éclair, étire l’élastique de son boxer et me place directement son gland dans la main. Il est suffisamment excité pour qu’un peu de liquide séminal perle, facilitant le mouvement de mes doigts sur le bout de son pénis. A la taille du gland et au relief que forme son boxer, je devine une queue longue et bien épaisse. Je soulève l’avant de ma robe et la place sur ma main le ...
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