Une balade pleine de rebondissements - Histoires de Sexe

Une balade pleine de rebondissements

... la porte derrière eux. Cette situation m’intrigua, et m’inquiéta même car Aurore était restée dans cette partie du local devenue soudain inaccessible. À peine entré dans le hall des toilettes, j’entendis des rires et des sifflements. La situation était en train de déraper. J’en étais certain. Quelle panique, et en même temps quelle excitation !

La porte des toilettes pour dames était totalement verrouillée. Il m’était impossible de venir au secours de mon épouse s’il s’avérait qu’il y avait un danger. Je réussis, en me mettant à quatre pattes, à apercevoir les pieds et les bas de jambes des occupants de la pièce. Je comptabilisai un total de dix pieds, mais tous chaussés de tennis. Ma femme devait encore être enfermée dans sa cabine car il n’y avait aucun escarpin en vue. À la fois rassuré et interrogatif, je tendis l’oreille pour collecter plus d’informations.

— Hé, la salope, t’es là ?
— Tu sais que t’es une bonne salope de bourgeoise comme meuf !
— Mes potes, ils voudraient bien que tu leur montre ta culotte de pute comme tu l’as fait avec moi au resto.
— Y a personne là-dedans ?
— Moi je sais que t’es là, et ton pédé de mari est sans doute derrière la porte avec sa petite bite en main.

Le groupe se mit à rire et à proférer tout un tas d’insultes à mon intention. J’étais totalement impuissant derrière cette porte, je ne pouvais rien faire. Elle était devenue leur proie. L’idée d’aller chercher de l’aide me traversa l’esprit en même temps que la promesse ...

... de jouissance que pourrait me procurer la suite d’une telle aventure. Il fallait faire le choix entre la vertu de ma femme et mon gros plaisir pervers…

Une serrure se déverrouilla, et ma femme affronta les jeunes en essayant de les raisonner. Ils se mirent de plus belle à crier, siffler et l’insulter. De mon poste d’observation, je ne pouvais pas voir plus que les genoux de chacun. Des pieds et des pieds dans tous les sens, telle fut la vision du moment où ils bousculèrent Aurore pour lui faire peur et l’étourdir un peu. Elle tentait de se défendre et de les repousser, mais en vain. Je la vis alors se laisser tomber contre le mur du fond et rester assise par terre. L’un des mecs tenta de la relever mais n’y parvint pas.

Un grand silence ! Plus un bruit, plus une parole. Des froissements des frottements et des petits déplacements. Ma femme se mit à genoux sur le carrelage. Deux pieds vinrent se positionner devant elle. Sans un mot, elle redressa son buste qui oscillait d’avant en arrière. Le pantalon tomba sur les chaussures du type. Elle le suçait ! J’étais à la fois horrifié par ce que je voyais, mais bien encore plus par ce que j’imaginais. Néanmoins je bandais comme un bœuf et je manquais d’air tellement la scène me donnait du plaisir.

Un second jeune vint se placer juste dernière elle, à genoux lui aussi. Il n’avait plus de pantalon et n’avait conservé que ses chaussettes et ses tennis. Il se colla à mon épouse et remonta rapidement sa jupe sur ses reins. Sans ...