1. Une balade pleine de rebondissements


    Datte: 31/10/2020, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, cocus, inconnu, nympho, caférestau, train, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe totalsexe, occasion, Auteur: Ofremafam, Source: Revebebe

    ... qu’il s’agissait bien du jeune homme qui mangeait face à elle, et qu’il l’avait d’ailleurs mise mal à l’aise tant il l’avait dévisagée pendant le repas.
    
    C’est en regardant la tenue de mon épouse et sa position sur le banc que je compris ce qui devait se passer, et je vous avoue que ce n’était pas pour me déplaire. En effet, Aurore portait souvent de jolies jupes mettant bien en valeur ses jambes fines et fuselées. Elles étaient souvent courtes, mais celle-ci était l’une des plus courtes de sa garde-robe. Courte, mais loin d’être vulgaire. Au contraire, très classe et élégante, comme toujours. Assise sur le bord du banc, ses jambes étaient totalement dévoilées, et lorsqu’elles bougeaient, elles permettaient d’apercevoir furtivement le tissu étincelant de sa petite culotte. La situation devait être la même au restaurant, et ce jeune chien fou s’en était mis plein les yeux. Ne voulant pas en perdre une miette, il avait sans doute décidé de nous suivre.
    
    Je ne dis rien à mon épouse qui passa d’ailleurs rapidement à autre chose dès que le jeune fit semblant de s’éloigner définitivement.
    
    Seuls sur notre banc et à l’abri des regards des passants, mes mains prirent possession des genoux de ma femme qui se laissa aller à quelques caresses à l’ombre d’un chêne. Ma paume droite parcourait le territoire s’étendant de la chute de ses genoux à la naissance de ses fesses, au risque de faire remonter un peu plus encore sa petite jupe. Ma main gauche passée dans son dos lui caressait ...
    ... la nuque avec douceur.
    
    De son côté, elle avait posé une main sur la bosse de mon pantalon, qui lui prouvait tout l’intérêt que je portais à la mise en scène et à l’actrice principale. Nous n’avions pas l’intention d’aller plus loin ; nous étions bien. Nos langues doucement enlacées dansaient le ballet de l’amour charnel et nos mains découvraient, comme au premier jour, les trésors de chacun.
    
    C’est la sonnerie d’un portable qui nous fit redescendre sur notre banc. Le même jeune homme était de nouveau là, face à nous. Depuis quand ? Qu’avait-il pu voir ou entendre ? Mais il était là et ne nous lâchait pas du regard. Il parlait dans son portable sans que nous ayons le moindre moyen d’entendre des fragments de la conversation. Il souriait et semblait avoir une discussion agréable. « A toute ! » : c’est la seule bribe de conversation que j’ai pu saisir lorsqu’il raccrocha.
    
    Nous avons décidé de reprendre notre promenade. Il ne semblait plus nous suivre. Après avoir acheté un café, ma femme me fit signe qu’il y avait des toilettes à l’extrémité du parc derrière les arbustes. Elle m’y entraîna donc afin de pouvoir y déposer « un petit pipi d’oiseau », comme elle le dit si bien. Elle y entra seule. J’attendais dehors pour profiter de l’ombre et d’une légère brise bienfaisante.
    
    C’est alors que je vis entrer également aux WC un groupe de quatre à cinq jeunes. Ils semblaient pressés et nerveux. Ils se dirigèrent comme un seul homme vers les toilettes des femmes et fermèrent ...
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