1. La mère et ses deux filles. (3)


    Datte: 30/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... de faire toute la nuit. D’un côté elle en était un peu jalouse et d’un autre elle s’excitait toute seule à imaginer toutes les choses que je faisais à sa fille (à aucun moment elle ne s’était dit que sa fille savait manœuvrer un homme et qu’elle était la maîtresse d’œuvre d’au moins une partie du scénario). Ses sens finirent par se réveiller et tout son corps se mit à frémir et demander du plaisir. Son mari dormait à côté d’elle d’un sommeil profond et bruyant. Elle essaya de le réveiller en lui caressant son sexe ; sans aucune réussite. Elle passa donc la nuit à se caresser et eut quelques petites jouissances qui n’ont pas calmé son ardeur. Elle disait tout cela d’une voix monocorde en nous regardant manger avec un appétit d’ogre. Elle reprit le plateau qu’elle posa à côté sur la petite table et vint s’asseoir sur le bord du lit, en nous regardant l’un et l’autre avec curiosité ; elle n’osait pas poser la question qu’elle avait sur le bout des lèvres.
    
    Je devinais ce qu’elle voulait savoir.
    
    — Elle est merveilleuse ! lui dis-je en montrant Feriel. Elle a de qui tenir ! Elle est courageuse et dure à la douleur. Elle est totalement orientée amour et sexe et ouverte à tout !
    
    La maman eut un sourire triste, tout en regardant sa fille qui a tendu un bras pour m’enlacer, comme pour dire à sa mère : « il est à moi ! ». Dans un geste de défi, elle fit entrer une main sous le drap et la posa sur mon sexe qui commençait déjà à donner des signes de fébrilité. Elle le caressa ...
    ... longuement, lui faisant prendre des proportions gigantesques. Elle continuait de me caresser, tout en défiant sa mère du regard. Poussant le bouchon encore plus loin, elle introduisit sa tête sous le drap et alla déposer un petit baiser sur le gland de mon pénis. Elle s’arrêta, ressortit sa tête et fit un sourire moqueur à sa mère qui semblait bouillir intérieurement. Elle recommença le manège mais cette fois en suçant goulûment mon gourdin et surtout en rejetant le drap pour montrer toute la scène à sa mère. Elle fit pénétrer la totalité du membre jusqu’au fond de sa gorge, tout en me caressant les couilles qui venaient cogner contre ses lèvres. La manœuvre dura longtemps ; j’étais au bord de l’extase prêt, à éclater dans sa bouche.
    
    Fahima ne l’entendait pas de cette oreille ; elle se dressa brusquement, tira sa fille par les cheveux en la faisant crier de douleur et, telle une furie, lui cria que la matinée c’était pour elle.
    
    — Tu l’as eu toute la nuit pour toi ! Moi il ne peut m’appartenir que les matinées comme celle-ci ! Alors dégage de là et en vitesse !
    
    Joignant le geste à la parole, elle releva les pans de sa robe, mit à nu sa chatte et vint se mettre à califourchon sur mes cuisses. Elle prit mon gros gourdin dans une main et le dirigea d’un seul coup sur sa fente. Sa chatte dégoulinait déjà ; mon sexe n’eut aucune peine à pénétrer dans son vagin ; elle s’assit complètement sur lui faisant même pénétrer les couilles. Elle prit appui sur mon ventre et commença ...