Première lune
Datte: 23/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
copains,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
Auteur: Aliocha, Source: Revebebe
... étais pas pour rien !
Elle gémit :
— Lèche-moi…
Elle s’allongea sur le sofa. Je m’installai à genoux et remontai ses cuisses au maximum.
Devant moi s’ouvrait la merveille de la création. À l’orée d’un bois joli de poils drus et noirs, la vulve de Sandra s’abandonnait à ma convoitise. Ivre d’excitation, je la contemplai quelques instants. Entre ses grandes lèvres brun-rose, qui avaient l’air enflées, tout n’était que chairs humides, muqueuses délectables où je brûlais de me réfugier tout entier.
Un peu plus bas se nichait un autre pli dont je m’approchai doucement.
Mon nez s’immergea dans son intimité – et en fut immédiatement imprégné. Déferlement liquide.
Le nez dans son sexe, ma bouche se retrouva au contact de son petit trou, que j’embrassai avec passion.
— Hé !
Je reculai un peu.
— Quoi ? Tu n’aimes pas ?
— Si ! Je ne m’y attendais pas, c’est tout… Continue…
Je repris ma caresse. Mes lèvres avides s’amourachèrent. Audacieuse, ma langue lécha et virevolta.
D’une vive écume j’inondais son cul !
Mon visage extatique aurait désormais, imprimé dans sa chair, l’odeur piquante de la croupe de Sandra ouverte sous ma langue comme une rose, creux délicat en désir d’être comblé. Hosanna !
Elle se cambrait… écartait instinctivement les fesses… se tortillait… Et je lui suçais goulûment l’anus, telle une glace à la mûre un soir d’été.
Le goût en était fort, poivré, ensorcelant. Il frémit sous ma langue qui, rendue folle par ce violent ...
... afflux de nouvelles sensations, voulait en forcer l’entrée.
Je m’éloignai de dix centimètres…
Scellées à mon visage, les odeurs mêlées de sa mouille, de son cul et des souvenirs de mon foutre me faisaient presque suffoquer. Sa raie dégoulinait de salive – aussi mouillée désormais que sa chatte encore inoccupée…
Je glissai une main entre ses fesses… massai un peu son doux orifice… et, sans trop savoir pourquoi, y enfonçai soudain une phalange.
Mon audace m’étonnait moi-même.
— Hé ! Mais qu’est-ce que tu fais ?
— Chut !
Ma Sandra expirait bruyamment.
Mon majeur s’enfonçait inexorablement en elle. Je l’y laissai quelques instants. Son cul était un peu serré, mais merveilleusement accueillant.
Je ressortis mon doigt et recommençai avec mon pouce, plus court, mais aussi plus épais. Je le lui enfonçai complètement.
Gémissements.
À intervalles réguliers, je suçais mon doigt pour assurer à ma partenaire un confort maximal. Sandra n’opposait aucune résistance.
Afflux de saveurs contradictoires.
Je lui branlai le cul un moment de cette manière – bruits humides, halètements –, avec l’un ou l’autre doigt, parfois deux, m’arrêtant seulement pour la laper sans pudeur, pour m’immerger encore un instant dans sa moiteur infernale et sucrée.
Alors seulement, mes lèvres se prirent d’amour pour son sexe.
Je délaissai son cul un instant et déposai un baiser entre ses grandes lèvres gorgées du désir qui déposait sa rosée sur la forêt avoisinante.
Je donnai ...