1. Tabouret 49


    Datte: 23/04/2018, Catégories: fh, fhhh, jeunes, uniforme, nympho, grossexe, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, Humour totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... !
    
    Même si j’ai lu quelque part que ce n’était pas bon d’en faire trop, je décide d’en faire un troisième, on ne sait jamais et de plus, c’est peut-être la dernière fois que je pratiquerai un tel truc ! On dirait que je m’habitue. On s’habitue à pas mal de choses, à ce qu’il paraît, même les plus biscornues.
    
    Puis je m’envoie plein de lubrifiant dans le fondement, car je ne tiens pas à avoir mal. Je veux bien faire des tas d’expériences cochonnes, passer pour une sacrée salope, mais avoir mal, non !
    
    Comme ça plaît aux hommes de tous les continents, je mets des bas noirs et un porte-jarretelles de la même teinte. C’est vrai que ça met bien en valeur. Pour le haut, je choisis un serre-taille tout aussi sombre, ça gommera un peu mon ventre, et ça mettra en relief mes petits seins. J’aurais préféré avoir la poitrine de maman, mais ce n’est pas le cas. Néanmoins, elle m’a avoué un jour que ses seins avaient grossi quand elle m’attendait et qu’ils n’avaient plus changé de volume ensuite. Mais je ne vais quand même pas me faire faire un marmot, juste pour avoir un peu plus de lolos !
    
    — Suzette, t’es prête ?
    — Oui, oui, Dick, j’ai presque fini. Tu peux entrer.
    — Ok.
    
    La porte s’ouvre, Dick s’immobilité et siffle dans ses dents :
    
    — Geez ! Ça c’est de la femme !
    — Merci, mais c’est pas la première fois que tu me vois habillée de la sorte.
    — Oui, mais là, c’est… c’est sublime ! Sans parler aussi de ce qui va arriver…
    — C’est plutôt ça qui t’excite, gros cochon ...
    ... !
    
    Il me saisit à bras le corps et m’embrasse furieusement, sa façon à lui de dire que, décidément, ma tenue lui plaît beaucoup ! Puis une bonne minute plus tard, nos lèvres se séparent. Avec une pointe de regret, il me demande :
    
    — Tu te sens prête ?
    — Quand le vin est tiré, il faut le boire.
    — Hmmm, je ne connaissais pas cette expression, mais j’ai compris le sens général. Tu peux annuler, tu sais.
    — Non, j’ai dit, je fais.
    — T’es un sacré amour, toi ! Pourquoi c’est pas toi que j’ai épousée ?
    — Trop jeune, cher monsieur. On en a déjà parlé trente-six fois ! Et puis, tu as deux gamins qui t’attendent là-bas.
    — Ne remue pas le couteau dans la plaie, s’il te plaît. Bon, si tu es ok, on y va. Mets un long manteau, on ne sait jamais, on peut rencontrer quelqu’un qu’il ne faut pas.
    — Ah vos ordres, Sergent !
    
    Je suis mon amant dans un long couloir, puis, Dick ouvre une porte et me fait rentrer, tout en retirant mon manteau qui n’a finalement pas été utile. Au milieu de la chambre trône un haut tabouret pivotant, et autour de celui-ci, quatre beaux militaires qui me regardent avidement !
    
    C’est la première fois que je vois un tabouret pivotant pour de vrai. Ceux que je connais ne pivotent pas, ils restent sagement immobiles. M’avançant dans la pièce, je lance un « Hello boys » plutôt décontracté. Mes garçons me répondent sur le même ton enjoué. Il y a de quoi, ils savent ce qui va arriver dans peu de temps ! J’arrive auprès de la chose en question. Amusée, je m’assieds ...
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