1. Tabouret 49


    Datte: 23/04/2018, Catégories: fh, fhhh, jeunes, uniforme, nympho, grossexe, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, Humour totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ris tandis que mon père sourit. Je sens que plus tard, je comprendrai bien des choses, mais que ce n’est pas encore le bon moment.
    
    Je suis au lit avec Dick. C’est mon sergent préféré, il a peut-être quinze ans de plus que moi, mais je m’entends très bien avec. Il vaut mieux, sinon je ne coucherais pas avec lui ! Dick ne m’a pas caché qu’il avait une femme et deux enfants, là-bas de l’autre côté de l’océan, une fois qu’il a eu fini ses études à Paris, il y a dix-douze ans. Sa Cindy n’a jamais voulu le rejoindre alors qu’elle le pouvait. Tant pis pour elle et tant mieux pour moi !
    
    Nous venons de faire l’amour et ce fut très bon, Dick n’a pas volé son diminutif ! C’est un de ses copains qui m’a expliqué la signification de « dick » en argot américain.
    
    — Si si, it’s true, ça veut dire ça !
    — Eh bien, messieurs, je confirme que Dick est à la hauteur et à la grosseur de son surnom !
    
    La plupart des soldats qui comprenaient un peu le français ont rougi. Et aussi les autres, quand les premiers ont traduit pour les seconds. Ma réputation a singulièrement viré au rouge, ce jour-là ! Ça a beaucoup amusé mon amant qui m’a néanmoins demandé de ne pas trop faire sa publicité, histoire d’éviter quelques jalousies mal placées !
    
    Dick a vite compris que je ne me contenterai pas que d’un seul bonhomme. Il a donc sélectionné ses coéquipiers de bagatelle, et je dois reconnaître que je n’aurais pas mieux choisi ! Quatre autres hommes et avec lui, ça fait cinq, comme les doigts d’une ...
    ... main. D’ailleurs, par amusement, je les surnomme ainsi, sachant que Dick est mon « pouce » adoré ! Décidément, j’avais eu la main heureuse avec mon sergent. C’est alors que je me suis demandé si ça n’avait pas été le même cas de figure entre mon père et ma mère. Ça m’a un peu perturbée, mais je me suis vite reprise.
    
    Fidèle à mon habitude, je suis allongée sur le ventre, mes petites fesses à l’air que Dick s’amuse à la fois à caresser et à bisouter. Un fana du cul, celui-là. Ce qui ne l’empêche pas d’honorer comme il se doit mes seins et ma chatte, Dick n’est pas monomaniaque.
    
    — Eh bé, Dickounet, tu avais de sacrées réserves aujourd’hui ! Pourtant, on s’est vus avant-hier !
    — Oui, mais ta simple vue me fait gonfler mes balles à bloc !
    — Idiot ! Mais ça fait plaisir à entendre !
    — En parlant de plaisir…
    
    Il se redresse, puis d’une voix forte :
    
    — Bobby ! You can come in !
    
    Et à ma grande surprise, Majeur-Bobby entre dans la chambre. Comme c’est le plus grand de mes « doigts », je l’ai surnommé ainsi. Très surprise, je bafouille :
    
    — Tu… tu peux… m-m’expliquer ?
    — Bobby va se faire un plaisir de continuer ce que j’ai commencé !
    — Que… mais ?
    
    Sérieux comme un pape, Dick continue :
    
    — Et puis, une fois que j’aurai repris des forces, je me lancerai dans la bataille !
    — Ben voyons ! T’es un sale vicieux !
    — Mais tu n’as pas dit non !
    
    En effet, je n’ai pas dit non…
    
    Aussitôt, Bobby s’assied juste à côté de moi, et commence à me caresser le dos, puis il ...
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