Orage d'été (1)
Datte: 27/10/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Olea, Source: Xstory
... découverte, le tissu de la culotte s’étant engouffré dans le sillon interglutéal lors de mon évasion. Il écarte habilement chacun de ses doigts et je sens de nouveau la chaleur de sa paume bien présente sur ma peau. Sa prise établie il exerce une pression sur ma chair, comme s’il palpait un légume sur un étalage de marché. La chair de poule qui se propage est déjà cruelle tant les terminaisons nerveuses de ma peau d’albâtre sont sensibles. Son pouce arrive sur le pli fessier et continue sa percée en débordant la barrière du tissu. Proche de mon intimité, il remonte en glissant sur l’extérieur de ma lèvre vers mon puits d’amour. Sans le toucher mais en le frôlant de près son pouce ressort à l’air libre. Durant cette incursion graveleuse, ses autres doigts s’étaient aussi glissés sous le fin tissu et avaient entrepris de contourner mes hanches en direction du mont de Vénus. Généralement cette zone est imberbe, mais souvent, à la demande de mon homme je laisse la nature reprendre ses droits. J’imagine aisément sa satisfaction lorsque d’un regard je constate l’esquisse d’un sourire sur son visage toujours endormi. La pulpe de ses doigts remonte avec douceur à contre sens de la repoussé, puis il finit par planter le bout de ses ongles afin de ressentir la résistance de ma pilosité. Mais je peux comprendre son plaisir, il doit s’apparenter à celui que l’on ressent lorsque que l’on caresse le crâne d’une personne venant de se couper les cheveux très court : lisse et doux dans un ...
... sens, rêche et dru de l’autre. Il n’empêche que son ravissement doit se terminer, j’ai la gorge sèche, il jouera plus tard. Je soustrais mon pubis à sa caresse en arrondissant mon dos, de cette manière ma féminité se cache entre mes cuisses et sa main est repoussée à l’extérieur de la cachette. Elle n’est pas à l’air libre pour autant puisqu’elle se retrouve sur mon nombril, sous le tissu de mon débardeur. Sans s’attarder dessus son bras s’allonge avec dextérité afin de dénicher sa nouvelle proie. Le mouvement de mon dos à eu pour conséquence de mettre mes petits seins à portée de sa fouille. Il connaît mon corps par cœur, il sait où et comment me toucher, il ne manque jamais sa cible. Mon sein est déjà pris entre ses griffes et commence à être pétri sous la pression de son assaut. Il ne dure pas bien longtemps puisque ses doigts se dirigent vers mon téton durci afin de le consoler de la violence de la rencontre. J’ai soif, vraiment, et je ne dois pas me laisser entraîner dans cette joute. Je viens à mon tour m’emparer de sa virilité endormie par dessus son boxer. Bon à savoir, la technique est radicale. Sa main m’a abandonnée, mon homme s’est redressé à moitié sur ses coudes, ramenés le long de ses flancs, les yeux bien ouverts, emplis de malice.
Je le regarde en souriant et lui repose ma question.
-Tu as soif ?
-Oui je veux bien un peu d’eau, il fait super chaud !
-C’est ta faute aussi, tu me colles, on est tout moite...
-C’est parce que je t’aime ça !
Je ...