1. Une sœur pas comme les autres (3)


    Datte: 27/10/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory

    ... pressants, de plus en plus taquins. Sa main glissa dans mes cheveux. Son bassin ondula, un peu plus tard. Un doigt aventureux vint rendre ce moment plus intense, plus puissant. Rapidement rejoint par un second au vu de son grognement menaçant, frustrant.
    
    Quelques minutes de ce traitement avant de me redresser. À la porte de l’orgasme. Je voulais la frustrer, faire désirer et durer ce plaisir. J’avais toujours été comme ça. Avec elle, je voulais exacerber ce plaisir, le rendre encore plus intense. Une petite moue frustrée se dessina sur son visage, vite remplacé par un regard gourmand, glissant le long de mon corps. J’en étais presque rassuré. Soulagé. Cette crampe me pesait. J’avais très envie de faire l’amour. Ou plutôt, de baiser. Mon envie était intense, brute. Et sa main se montra aussi ferme que mes désirs, venant frotter mon membre contre l’humidité de ses cuisses, de son sexe.
    
    Cela était prenant. Bandant. Je pense que ce mot est désormais associé à ma sœur. Sentir son gland frotter contre cette chair chaude et humide, cette légère aspiration - à moins que cela soit les mouvements involontaires de mon bassin – vers ce sexe qui est prêt à te dévorer, te faire fondre. Elle savait qu’elle me rendait fou. Elle était folle aussi. Je pouvais deviner la rougeur de ses joues, plus que la voir. Et son plaisir, je pouvais le sentir dans ces caresses de plus en plus humides. Je ne sais pas comment je n’ai pas pu la prendre. D’un coup. Sèchement. Mais je me suis retenu. ...
    ... J’étais ensorcelé. Et je voulais la frustrer, un peu. Mais à la fin, je me demandais qui frustrait qui.
    
    Je me suis vite retrouvé sur le dos, allongé, le parfum de ma sœur assaillant les narines. La vue d’elle sur moi me fit encore plus d’effet. Nous ne pouvions plus attendre, ni elle ni moi. Une fougue. Une impatience mutuelle. Un emballage qui se déchire. Un bruit à peine perceptible tellement que mon cœur battait la chamade. Je ne sais pas d’où elle le sortait. Je dois dire que je n’avais pas cela comme préoccupation en tête. Bien vite, elle se retrouva sur moi, s’empalant d’un coup sur mon sexe tendu. Cela faisait salope et j’adorais cela. Ses mains posées sur mon torse. Ses ongles s’enfonçant dans ma peau. Son sexe serré autour du mien. Une frustration de plusieurs semaines qui allait être comblée.
    
    — Oh putain...
    
    Une voix hachée par l’émotion. Son souffle se calquant sur le mien. Ses mouvements d’abord maladroits devinrent de plus en plus soutenus. Ma sœur baisait comme une déesse et au fond, j’aimais cela. J’adorais. Je voyais ses seins se balancer au rythme de ses allers et retours sur mon membre. Ferme. Les tétons raides. J’y laissais glisser une main. Emprisonnant son globe au creux de ma paume. Je comprenais l’envie de tous ces hommes. Mon regard n’était plus le même. Depuis un certain temps. J’entendis ses gémissements, à peine perceptibles au début, emplirent la pièce au fur et à mesure. Je pense que les miens n’étaient pas non plus discrets. Je ressentis ...