Une sœur pas comme les autres (3)
Datte: 27/10/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory
... La masturbation ne me suffisait plus et je n’avais pas encore trouvé une nouvelle copine. J’étais frustré. Certains comprendront sûrement de quoi je parle. D’autres ne pourront qu’en avoir une vague idée.
J’attendais donc qu’elle termine de se laver. Avec impatience. L’envie ne faisait que monter durant ce temps. Cette attente langoureuse. Presque douloureuse. Je ne sais pas combien de temps est passé. Cinq minutes. Vingt. Je n’avais plus la notion du temps en tête. J’écoutais. L’eau s’était stoppée. Je commençais à monter les escaliers. La cage d’escalier me paraissait plus étroite. Mon envie, plus pressante. J’arrivais devant la porte de la salle de bains lorsqu’elle s’ouvrit. Derrière, ma sœur. Ses cheveux bruns mouillés, en train d’être séchés par ses mains expertes. Une autre serviette couvrant son corps. On s’est regardés quelques secondes, même pas. Ce genre d’instant qui se termine avant qu’on prenne conscience qu’il existe. Ma main glissa sur le nœud maladroit de sa serviette, comme si elle savait que j’allais monter pour la dénuder, à la sortie de la douche. Mes yeux se perdirent sur son corps alors que je devinais un petit sourire se dessiner sur ses lèvres. Nous allions le faire. À l’instant, j’ajoutais pour moi-même : nous allions enfin le faire.
Sa main glissa sur mon boxer. Je ne m’étais pas rendu compte que je n’étais vêtu que d’un sous-vêtement et d’un t-shirt. Je bandais. Mon envie ne s’était pas dissipée. J’ai cru, pendant un bref instant, qu’elle ...
... allait se livrer là, sans mot dire. Ses doigts passèrent sous cette barrière de tissu, son pouce glissa sur mon gland, qui perlait déjà avant qu’elle ne retire sa main et que sa langue ne prit l’idée de glisser sur ce pouce humide. Je me mordis la lèvre d’excitation. Elle glissa contre moi avant de se diriger d’un pas léger vers sa chambre, la laissant ouverte, invitation à la rejoindre.
Le moment était un peu fou. Je voulais arrêter. C’était ma sœur. Mais au fond de moi, rien ne me disait d’arrêter, bien au contraire. Je bandais au point d’en avoir mal. Je fis descendre mon boxer sur les jambes, jetais mon t-shirt dans les escaliers et c’est nu comme un ver que je refermais la porte de la chambre de ma sœur. Les rideaux étaient encore fermés. La pénombre me suffisait à la distinguer. Allongée dans le lit. Les cuisses écartées. Les doigts taquins, me narguant. J’étais pétrifié. De plaisir. Je regardais la scène, mes pas me faisant lentement me rapprocher d’elle. Je me laissais glisser entre ses cuisses, sans aucun préambule. Je voulais la goûter, lui prodiguer un plaisir, ce plaisir, égalant sa pipe nocturne.
Je sentis son étonnement à la contracture de ses cuisses alors que ma langue, sans aucune attente, vint passer sur ses lèvres. Je la sentis se redresser sur les coudes. Admirer ce spectacle. Et je pense qu’un spectateur curieux aurait pu voir la gourmandise dont je faisais preuve à ce moment. Rapidement, je la sentis répondre à mes coups de langue, de plus en plus ...