1. Deux fois 45 minutes de bonheur (1)


    Datte: 26/10/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: Emil, Source: Xstory

    ... fixé à lui sans échappatoire possible. Je me sens en communion avec la nature et me repais de notre bouillonnement interne alors que ma peau ressent enfin pleinement la rosée du soir. Je suis sa chose et aime que cela dure ainsi. Les minutes succèdent aux minutes et ma tête est en folie. J’ai envie de lui déclarer mon amour. Je m’imagine vivre avec lui et plier à tous ses caprices. Je le vois se glisser dans ma couche pour me posséder longuement. Je l’imagine arrachant mes vêtements de ses puissantes mâchoires en n’importe quelle circonstance, me soumettre à ses désirs en privé comme en public et j’en suis heureux. Je fusionne avec lui en totale impudeur et je rêve déjà de nos autres outrances. Trois bons quarts d’heure passent comme dans un songe.
    
    Lorsque son sexe me libère, je m’effondre au sol, fourbu. Je roule sur moi-même et finis ma course sur le dos en de longs étirements. Mon amant jappe du plaisir de me voir faire puis se couche sur ma poitrine et mon ventre. Je le prends dans mes bras et l’embrasse tendrement à de nombreuses reprises. Je susurre « merci mon amour » tout en le caressant et le câlinant de tout mon être. Je le sens détendu et serein. Sa maitresse vient nous prodiguer quelques encourageantes cajoleries. Après quelques minutes de torpeur, nous nous levons tous deux. J’éprouve un sentiment de plénitude et imagine mon partenaire pareillement comblé. Et pourtant, lorsque je veux attraper mes vêtements, il s’énerve, grogne de façon peu aimable et me les ...
    ... arrache des mains. Je comprends : il n’en a pas fini de moi !
    
    Je suis à peine étonné quand ses puissantes pattes antérieures m’étreignent la jambe et me font tomber à genoux, la face contre l’épais gazon naturel. Je me retrouve en position d’adoration : tête au sol, fesses en l’air. Très vite, mon bel ami prend position sur moi ; ses pattes avant me plaquent les épaules à terre. Cette nouvelle position consacre un peu plus ma soumission et me voici, sans ménagement, à nouveau embroché plus fermement que la première fois. J’ai honte car j’ai plaisir à cette attitude humiliante et l’intelligent quadrupède le sent bien, tout comme sa maitresse d’ailleurs. Elle l’encourage de la voix : « Vas-y, profite ! Tu vois bien qu’il aime ça ! » Le chien ne se fait pas prier et son sexe grossissant me ramone allégrement le cul. Lorsque son bulbe est au zénith, je me sens dilaté jusqu’à la limite et à nouveau captif. Son brutal demi-tour me tire un cri de douleur. Par contre, je trouve du confort dans cette ridicule position cul à cul jusqu’à… jusqu’à ce que des éclairs m’inondent de lumière. La maitresse du chien est en train de me tirer le portrait dans cette avantageuse position. Je grogne mon refus, mais elle émet un rire sonore en m’annonçant qu’elle a pu en prendre bien d’autres sans flash lors du précédent exercice. La honte me monte aux joues.
    
    Presque aussitôt, des pensées salaces m’étreignent à nouveau et je sens mon sexe s’ériger. N’y tenant plus je fais glisser ma main vers ...