Les malheurs de Clotilde Ch. 04
Datte: 26/10/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... épouvantable.
Greg pousse un grondement de fauve satisfait quand il triomphe du cul féminin. Je perçoit intégralement le travail laborieux de mon anus qui, écartelé à force, se porte peu à peu aux dimensions incroyable que l'on veut lui faire absorber. Moi, je continue de hurler, un hurlement continue, sans aucune pause.
Mes mains liées dans mon dos, m'interdisent malheureusement tout mouvement de défense. Je ne peux que subir, offerte. Mon hurlement se transforme en une sorte de hululement sinistre, dont le son devrait faire débander mon enculeur, sort des lèvres de l'enculée. En l'occurrence moi. Car c'est ce que je suis maintenant, une enculée, même si c'est pour l'instant seulement le bout du gland de mon agresseur qui se trouve dans mes fesses. Mes lèvres, mon visage sont tordues par la souffrance.
Le bruit qui sort de ma gorge, devient plus puissant, plus monstrueux encore, au moment où, assurant brutalement sa prise, Greg m'empale d'un seul coup de queue en poussant un « han! » de bûcheron. Mon anus à un nouveau craquement. J'ai l'impression d'exploser de l'intérieur, que des bouts de moi, que des morceaux de chairs, volent de partout dans la pièce. Un éclair puissant frappe mes yeux sous la souffrance immonde. Je ne suis plus qu'un corps de souffrance, dont l'épicentre est mon petit trou.
Bien entendu, Greg se garde d'attendre que le trou qu'il force, bien trop petit pour le recevoir, s'adapte à son engin. Il fore son passage dans mon corps. Repoussant ...
... mon intérieur pour faire place à son truc. Ayant vaincu la résistance du seul muscle qui s'opposait encore à la pénétration, il s'enfonce millimètre par millimètre, imperturbable. Je sens chaque veine, chaque cratère, chaque porosité sur son sexe. Je suis contractée à fond pour essayer d'empêcher, en vain, ce viol sodomite. Je ne me rends pas compte que je ne fais que augmenter ma douleur, ma souffrance, mon enfer.
Lui enfoncé d'un tiers dans mon corps, est ravit. Mon intérieur lui serre délicieusement la bite, palpitant tellement, qu'il a l'impression que je le branle de mes entrailles. Ne rencontrant plus de résistance, il continue sa lente progression, paraissant arracher mes entrailles. J'ai l'impression qu'il va trop loin en moi. Qu'il va franchir les poumons, pour remonter par ma gorge et ressortir par ma bouche. Je pense connaître le supplice de l'empalement. Je suis revenue au moyen-âge, et on me fait de nouveau subir cette torture.
Lui ne s'arrête pas de progresser en moi, avant de s'installer bien au chaud dans mon corps, à fond, ses grosses couilles venant s'écraser contre mes fesses martyrisées, et mon vagin dans un encore plus triste état. Les poils hirsute de son pubis, irrite mon entre-fesse, déjà écarquillée à la limite de la rupture. Il reste quelques instant immobile en moi, tandis que mon hurlement se transforme peu à peu en râle grave. Satisfait d'avoir agrandit le minuscule chenal, il sodomise alors sa victime, c'est à dire moi, à grands mouvements ...