1. Les malheurs de Clotilde Ch. 04


    Datte: 26/10/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... de ma tête. Il me menotter les poignets, au maximum de ce qu'il peut. Je crie de douleur quand les bracelets se referment sur mes poignets. Greg a une télécommande en main. Il s'en sert, la chaîne remonte, jusque à ce que mes orteils touchent à peine le sol. Et encore, si je me tiens sur la pointe des pieds. La voix de Greg retentit alors.
    
    - C'est l'heure de ta punition ma belle!
    
    Je fonds de nouveau en larmes. Je ne m'arrête jamais longtemps de pleurer. Dès que je me calme, un de ces monstres trouvent le moyen de me faire replonger. Je tremble de peur, j'ai déjà mal aux bras, aux orteils.
    
    - Si je t'ai placé ainsi, c'est pour avoir le plaisir de te voir te débattre, sans avoir la possibilités de trouver un point d'appui!
    
    Je n'ai aucune idée de ce qu'il dit, mais je sais une seule chose, je vais vraiment morfler, je le comprends au ton de la voix de Greg.
    
    - Ta punition sera la cravache. Je vais te frapper avec. C'est un cadeau, la prochaine fois ce sera le fouet.
    
    Je n'ose lui répondre, je n'ose le supplier. Quand il cesse de parler, je sais que le moment est venu. Mes omoplates et la raie de mes fesses se resserrent. Je suis tellement terrifiée, qu'une envie de faire pipi alourdit mon bas-ventre. J'y résiste désespérément. Puis siffle le cuir comme un serpent. La cravache me mord par le travers de mes belles fesses. Je sursaute avec une telle violence, que je décolle du sol. Je me refuse cette fois, vaillamment, à leurs donner le plaisir d'entendre mes ...
    ... plaintes. Alors je me mords la lèvre, avec une telle force, que le goût du sang envahit ma bouche.
    
    Au second coup, ma tête se renverse en arrière, tandis que je danse, telle une poupée désarticulée, au bout de mes chaînes, qui cliquettent sinistrement. Il n'y a eut que deux coups, que déjà j'ai l'impression d'être dans le dernier cercle de l'enfer. Les trois rigolent de me voir comme cela. Comment peut-on prendre autant de plaisir à voir un être humain ainsi souffrir? Quels monstres peuvent-ils bien être?
    
    Le rythme de la tannée devient infernal. La cravache est partout à la fois. Sur mon cul, là où il s'incurve, puis elle remonte sur le dos, et son claquement est plus mat. Puis la cravache revient à l'endroit roi, mon divin popotin, qui, avec le vagin, est un des principaux atout de la femme. Je suis en train de l'apprendre à mes dépens, mais le derrière de la femme, est l'endroit roi, le morceau de choix des séances de flagellation. Surtout que avec ma peau si fragile de véritable blonde, la cravache fait dix fois plus mal que sur une peau plus résistante, plus épaisse.
    
    Au début je me suis promis, juré, j'ai crut pouvoir tenir... Et pourtant je m'entends gémir, me plaindre, crier, hurler. Je n'en peux plus, c'est horrible. Je n'ai jamais reçu une seul claque, un seul coup avant eux. Je craque. Je le supplies honteusement d'arrêter, ne serait-ce qu'un peu. Je promet tout à Greg : d'être complaisante, sage, servile. De leurs faire absolument ce qu'ils voudront... En vain... ...
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