1. Les malheurs de Clotilde Ch. 04


    Datte: 26/10/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... ouvert, d'où s'écoule un flot de sperme, de merde et de sang, me lance comme si on le pique avec des milliers d'épingle rougit à la flamme. Je redoute, je suis certaine, je suis sure que jamais je ne me refermerais. Je pleure de toute mes forces, je tremble, mon corps est secoué de soubresaut. Je me mets en chien de fusil, je remonte mes genoux sur mes seins. Je bave tellement je pleure. Je suis anéantie, détruite. Ce salaud m'a tué. Je ne suis plus humaine, je ne le serais plus jamais. On ne peut pas se remettre de ça. Je sens, je sais, je serais leur putain tout ma vie. Les subissant encore et encore, jusque à la fin.
    
    C'est la caresse inattendue d'une main qui me rend à la réalité. En vérité je ne me suis point évanouie, j'ai sombré dans une torpeur qui ressemble à un coma. Ma surprise est totale quand je constate que c'est la main de Greg. Cette grosse brute qui m'a frappée et tellement fait souffrir. Sa main se promène avec douceur sur l'arrondi de ma croupe. Je reste ahuri, stupéfaite. Serait-ce la fin de mes tourments? Va-t-il me libérer, et c'est dans cette optique qu'il se comporte gentiment avec moi? Pour que je ne porte pas plainte? De toutes façons je ne le ferais pas, j'ai trop honte, et surtout trop peur.
    
    Puis je me rends compte qu'en vérité ce n'est peut-être pas vraiment une caresse. En fait Greg étale, avec l'orgueil de l'enculeur, le plaisir du violeur, le liquide crémeux dont il m'a remplit les intestins, moi sa pute, et qui s'écoule maintenant, en ...
    ... partie, par mon trou du cul distendu. La paume de la main trouve agréable, de masser, avec sa semence, toute la surface rebondie de mes fesses neigeuses, cependant méchamment malmenées, et qui en portent d'épouvantable trace.
    
    Mes espoirs sont de nouveaux douchés, si je sortirais sûrement un jour, ce n'est pas pour maintenant, je pense que les deux autres vont me sodomiser aussi... En tout cas, si ce qu'il fait me dégoûte, m'humilie, au moins je ne ressens pas une douleur supplémentaire, autre que celle puissante, provenant de mon anus détruit. Tout mon corps me fait souffrir, j'ai mal partout. A travers mes larmes, je vois Meyer revenir avec un seau et un balai espagnol et nettoyer mon vomit.
    
    Puis le visage de Greg surplombe le mien. Je comprend ce qu'il veut faire, au moment où il colle ses grosses lèvres lippues, et gluantes de bave, aux miennes, pulpeuses et jeunes. Or ce baiser qui viole ma bouche, cette langue dans ma salive et qui caresse la mienne, je n'en veux pas. Mais je l'accepte néanmoins, je n'ai pas le choix, je réponds à la pelle qu'il me roule. Je descend plus bas que terre. En l'acceptant, c'est faire alliance avec le monstre, le fumier qui vient de m'enculer. Pis que vendre mon anus, mon vagin et même tailler des pipes. Je viens aussi de lui vendre ma tendresse, en quelques sortes mon âme...
    
    En acceptant ce baiser, je ne suis même plus une putain, qui elles n'acceptent pas les baiser, je sors du camp des putes, qui elles n'offrent pas leurs lèvres à ...