1. La filière bulgare 02 : L'enlèvement


    Datte: 22/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds

    ... Nous avons effectué une boucle vallonnée et je n’ai vu aucune habitation ni aucun être humain.
    
    Passage à la douche et retour en cellule. 15H10 lu à la montre d’une brute.
    
    Un chariot arrive et une grande brune abandonne celui-ci devant la grille.
    
    Les brutes reviennent.
    
    - Tu vas nettoyer ta cellule.
    
    C’est comme au service militaire. Ne pas poser de question. Je suis à poil, attaché au mur par les couilles, à quatre pattes en train de briquer un sol impeccable sous le regard de ces deux filles qui conversent el bulgare sans savoir que je les comprends.
    
    - Je me l’enverrai bien celui-ci.
    
    - Ouais. Moi aussi. Ça me changerait des mollassons que je me tape d’habitude.
    
    - Pas touche à la marchandise. On n’a pas les moyens.
    
    - Pas vu, pas pris. On pourrait mettre cela au point une nuit où nous sommes de garde.
    
    - Ok. J’en suis.
    
    J’hallucine. Elles pensent que je vais les sauter sur commande.
    
    - Ok. Tes mains.
    
    Menottes et détachement de mes couilles et nous voilà partis mais où ?
    
    Une salle de body.
    
    - Tu as une heure pour faire ta muscu.
    
    Une des filles fait pareil pendant que l’autre s’établi devant la porte. Après une demi-heure elles échangent leurs rôles.
    
    Je suis scié. Elles tiennent quand même la forme. Ce ne sont pas des gonflées.
    
    Retour en cellule. Heure estimée 16H30.
    
    - Et la douche ?
    
    - Après la punition du soir !
    
    Ah oui, j’avais oublié. Je dois en reprendre 28.
    
    Je coince la bulle environ deux heures. Un repas léger ...
    ... mais nourrissant est servi. On vient aussi régulièrement m’apporter de l’eau.
    
    Les deux gardiennes reviennent.
    
    - 19H00 ! Punitions !
    
    Retour dans la grande salle où je suis directement attaché avec les menottes de suspension.
    
    Mes chevilles sont attachées de manière très écartées.
    
    La rousse arrive et actionne le mécanisme qui me soulève et me place en tension.
    
    Je suis un X tendu par des câbles invisibles.
    
    D’autres esclaves, sept personnes, arrivent nus comme moi et s’asseyent sur les chaises contre les murs.
    
    C’est parti.
    
    - A chaque coup tu diras : « Merci Madame. Par merci oublié c’est dix coups de plus. »
    
    Premier coup.
    
    - Merci Madame.
    
    Je tiens les 28 coups.
    
    Une femme encore jamais vue, grande blonde au joli visage plein de taches de rousseur, s’approche et me passe une crème apaisante sur les traces du fouet. Efficace.
    
    La machinerie s’actionne et me redescend sur le sol. Mes jambes ne portent quand même plus. Je suis comme une poupée de chiffons.
    
    Ils m’attachent maintenant les chevilles à d’autres câbles et je suis relevé pendu par les quatre membres.
    
    La rousse s’approche. J’ai peur. Elle va de nouveau m’écraser les couilles.
    
    - Pour avoir éjaculé sans permission, deux heures pendu par les quatre membres avec un poids aux testicules.
    
    Elle ferme un anneau métallique sur mes couilles et y suspend un poids. C’est lourd mais supportable.
    
    Elle actionne le mécanisme. Je suis enlevé mais elle me fait monter très haut. Pourvu que mes ...
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